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]votes: 69 | commentaires : 0 précocité, documents de référence : la psychométrie posté jui 25, 2004 - 06:46 am transmettre l'url de ce document à un ami   imprimer ce document en 1879, francis galton publiait dans la revue brain, sous le titre de "psychometric experiments", un article dont le début contient la première définition du terme de psychométrie et une affirmation de la nécessité des méthodes quantitatives dans les sciences de l’homme : "la psychométrie, il est à peine besoin de le dire, signifie l’art d’imposer aux opérations de l’esprit la mesure et le nombre [...]. jusqu’à ce que les phénomènes d’une branche quelconque de connaissances aient été soumis à la mesure et au nombre, cette branche de connaissances ne peut assumer le statut et la dignité d’une science."si l’idée en est formulée en des termes presque identiques, plus de trois siècles plus tôt, par léonard de vinci, c’est en réalité dans un texte de langue française, dû au philosophe et naturaliste suisse charles bonnet, qu’apparaît, dès 1764, le mot "psychomètre", lequel n’a d’ailleurs pas survécu : "le nombre des conséquences justes que différents esprits tirent du même principe, écrit-il, ne pourrait-il pas servir de fondement à la construction d’un psychomètre, et ne peut-on pas présumer qu’un jour on mesurera les esprits comme on mesure les corps ?" en allemagne, johann friedrich herbart avait, en 1824, demandé que l’on pratiquât la mesure des grandeurs partout où cela est possible et que l’on appliquât le calcul à la vie de l’âme. bien que l’objet de la psychologie moderne ne se définisse plus guère en termes de vie de l’âme ou d’opérations de l’esprit, le champ de la psychométrie reste l’application du nombre et des méthodes quantitatives dans l’étude des conduites et des comportements, de leurs motivations et de leurs finalités. son domaine s’est longtemps confondu avec celui des tests mentaux, qui en constituent l’instrument privilégié mais auxquels il convient d’ajouter celui des échelles d’appréciation. en outre, les progrès de l’informatique et les facilités offertes par le développement des méthodes de calcul électroniques ont ouvert à la psychométrie des voies nouvelles en rendant possible le traitement de valeurs numériques nombreuses et complexes ; l’exploitation de toutes les données statistiques portant sur le comportement humain, par exemple dans la recherche épidémiologique, peut être considérée comme faisant partie intégrante de la psychométrie. les tests mentaux c’est vers la fin du xixe siècle que la méthode des tests mentaux s’est établie et développée dans le champ de la psychologie différentielle. en 1890, le psychologue américain james mckeen cattell publia dans le journal anglais mind un article intitulé "mental tests and measurements", où se trouve mentionné pour la première fois le terme de test mental pour désigner une série d’épreuves utilisées dans l’étude des différences individuelles chez les étudiants de l’université ; ces premières épreuves étaient pour la plupart destinées à mesurer des fonctions sensorimotrices élémentaires. des tests mentaux du même genre furent employés aux États-unis par münsterberg en 1891, par jastrow en 1893. vers la même époque, oehrn, un élève de kraepelin, et kraepelin lui-même, en 1895, élaboraient des épreuves destinées aux malades mentaux. mais c’est à binet que revient le mérite de publier en 1905 et d’utiliser le premier test mental pratique. jusqu’à la première guerre mondiale, la méthode des tests mentaux resta surtout limitée aux tests d’intelligence et d’aptitudes, appliqués à l’éducation et secondairement à l’orientation professionnelle. en 1917, les États-unis, ayant à recruter une armée très rapidement et à en choisir les cadres, se servirent systématiquement des tests mentaux avec une extension qui eut un profond retentissement. ceux-ci connurent alors un succès considérable dans l’éducation, l’industrie et, plus accessoirement, en médecine. si les tests les plus employés portaient sur l’exploration de l’intelligence, des connaissances et des aptitudes, les tests de personnalité se développèrent aussi, quoique plus lentement, jusqu’à la seconde guerre mondiale. le grand nombre et la diversité des tests existants rendent difficile une définition précise et suffisamment compréhensive. pichot a proposé la définition suivante : "on appelle test mental une situation expérimentale standardisée servant de stimulus à un comportement. ce comportement est évalué par une comparaison statistique avec celui d’autres individus placés dans la même situation, permettant ainsi de classer le sujet examiné soit quantitativement, soit typologiquement." pichot insiste sur les quatre points suivants qui sont impliqués dans cette définition : la situation expérimentale (milieu dans lequel se déroule l’expérience, matériel de test, attitude et consignes données par l’examinateur) doit être parfaitement définie et reproduite identique à elle-même dans tous les cas ; l’enregistrement du comportement du sujet (réponse écrite ou verbale, dessin, exécution d’une certaine tâche) doit être aussi précis et objectif que possible ; le comportement ainsi enregistré doit être évalué statistiquement par rapport à celui d’un groupe d’individus : cette comparaison statistique est indispensable et toute épreuve qui n’y a pas recours n’est pas un test mental ; enfin, le classement du sujet examiné par rapport au groupe de référence, appelé encore "groupe d’étalonnage", est le but final du test, que ce classement soit d’allure quantitative ou qualitative. il est malaisé de proposer une classification exhaustive. on peut cependant opposer, d’après un critère fonctionnel simple, les tests dits d’efficience aux tests de personnalité. les tests d’efficience regroupent tous ceux dans lesquels le comportement du sujet (ou plus simplement sa réponse) peut faire l’objet d’un jugement de valeur précis et objectif, c’est-à-dire être apprécié en termes d’échec ou de réussite ; autrement dit, ce sont ceux pour lesquels il existe une bonne réponse et de mauvaises réponses. par exemple, compléter la série : 12321 23432 34543 456... appelle la réponse 54, qui est objectivement la bonne réponse, toutes les autres réponses possibles ne répondant pas exactement au problème posé. dans ce groupe on peut, de façon schématique, distinguer : les tests et échelles d’intelligence destinés en général à l’étude du niveau intellectuel global, le plus souvent exprimé en termes de quotient intellectuel - tests qui dérivent presque tous soit des travaux de binet (par exemple, les différentes échelles d’intelligence de wechsler), soit des travaux de spearman d’où sont issues les techniques d’analyse factorielle - ; les tests d’aptitude utilisés aussi bien dans le domaine scolaire que dans le domaine professionnel ; les tests de connaissances, qui jouent un rôle particulièrement important en pédagogie et dont il existe de très nombreuses variétés. les tests de personnalité, où le mot personnalité doit être pris dans un sens très large, explorent les intérêts, le caractère, l’affectivité, c’est-à-dire les aspects conatifs et affectifs de l’individu. dans ces tests, il n’est pas possible de déterminer une bonne réponse par opposition aux autres réponses possibles. un sujet à qui l’on demande, par exemple, d’interpréter une tache d’encre du test de rorschach pourra donner des réponses nombreuses et variées parmi lesquelles il n’en existe pas une qui soit objectivement la bonne. la signification et l’interprétation de ces réponses reposent alors soit sur une théorie sous-jacente au test, soit sur une validation empirique à partir de critères extrinsèques. parmi les tests de personnalité, on peut distinguer : - les questionnaires de personnalité. ce sont des listes de questions auxquelles le sujet doit répondre, le plus souvent par oui ou par non, et qui portent sur ses opinions, ses goûts, son comportement dans telle ou telle circonstance, ses sentiments, ses intérêts. ces instruments sont très utilisés en raison notamment de l’objectivité de la cotation et de la facilité de la correction, opérations qui peuvent d’ailleurs, dans certains cas, être assurées automatiquement par des machines. l’"inventaire multiphasique de personnalité du minnesota" (m.m.p.i.) est le questionnaire le plus utilisé et celui qui a donné lieu au plus grand nombre d’études et de travaux (3 855 références relevées jusqu’en 1971 pour la seule langue anglaise ; et environ 250 articles, livres ou thèses sont publiés chaque année dans cette langue au sujet de ce test). - les tests objectifs de personnalité. on entend généralement par là des épreuves qui sont analogues aux tests d’efficience, mais dont les résultats permettent des conclusions sur la nature des facteurs non intellectuels de la personnalité du sujet. ils n’explorent qu’un secteur bien défini de la personnalité, généralement d’étendue limitée, mais de façon précise, objective et strictement quantitative. ces inconvénients et ces avantages expliquent que leur développement pratique est relativement restreint et qu’ils sont surtout utilisés dans des recherches expérimentales. - les techniques projectives. les échelles d’appréciation bien qu’il s’agisse là de techniques anciennes (la première échelle d’appréciation date de 1840) le développement des échelles d’appréciation (rating scales) est relativement récent, associé en particulier aux progrès de la psychopharmacologie où elles répondent à l’exigence de données quantifiées dans les essais thérapeutiques. ce type d’instrument est destiné à enregistrer de façon objective, précise et standardisée, le comportement d’un sujet observé dans une situation concrète et réelle, à l’école, au travail, à l’hôpital, par exemple. contrairement aux tests, elles n’exigent aucune participation directe du sujet examiné, mais l’intervention d’un observateur compétent et entraîné, qui peut d’ailleurs utiliser le témoignage de tiers. c’est ainsi que l’"Échelle de maturité sociale" de e. a. doll, destinée à étudier le développement de l’adaptation sociale des enfants, propose à une personne qui connaît bien le sujet (parents, par exemple) un inventaire détaillé portant sur le comportement concret et quotidien de l’enfant, codifié à travers 117 rubriques très précises (par exemple : "se lave-t-il les mains tout seul ?"). l’illusion de la mesure on définit très souvent le test mental comme un instrument de mesure ; ainsi parle-t-on couramment de la mesure de l’intelligence. cette façon de s’exprimer, sanctionnée par l’usage, constitue en réalité une extension abusive du sens du mot "mesure", dont l’idée est d’ailleurs impliquée par la formation étymologique du terme "psychométrie". au sens strict de la métrologie, la mesure est l’évaluation d’une grandeur par comparaison avec une grandeur de même espèce prise pour unité. l’existence de cette unité de mesure entraîne la possibilité de définir l’égalité de deux grandeurs et l’additivité. il est clair que les "opérations de l’esprit" ou plus généralement les comportements, attitudes, aptitudes, fonctions, traits, qui sont l’objet de la psychométrie ne relèvent pas de cette définition (le q.i., par exemple, est un nombre sans dimension). on adoptera donc une définition plus large, telle que celle qu’a proposée guilford, selon laquelle mesurer c’est "assigner un nombre à un objet ou à un phénomène selon une règle logiquement acceptable". si l’unité de mesure permet d’exprimer un résultat par un nombre absolu (3 mètres, 8 kilogrammes, 110 volts), le repérage numérique utilisé en psychométrie n’aura qu’une valeur relative. ce repérage se fera par référence à un ensemble de résultats obtenus par un groupe de sujets qui constitue le groupe d’étalonnage, et utilisera donc un certain nombre de notions statistiques. les procédures les plus courantes sont schématiquement les suivantes : - repérage statistique en termes de fréquence relative. par exemple, un q.i. de 90 aux échelles de wechsler délimite le quartile inférieur de la population, c’est-à-dire que, dans un échantillon représentatif de la population générale, 25 p. 100 des sujets obtiennent un q.i. inférieur à 90 et 75 p. 100 un chiffre supérieur. - distance par rapport à la moyenne. le m.m.p.i., par exemple, est étalonné en notes t, définies par la double convention que la moyenne arithmétique est fixée à 50 et l’écart type à 10. une note t de 70 se situe donc à une distance de deux écarts types au-delà de la moyenne arithmétique, ce repérage étant là encore établi dans un échantillon représentatif de la population générale. - modèle stochastique. ce type de modèle conduit à confirmer ou bien à rejeter une hypothèse de départ, matérialisée par le choix d’un étalonnage particulier, suivant la valeur calculée a priori des probabilités afférentes aux conséquences entraînées par le choix de cette hypothèse, en vertu de ce qu’Émile borel énonçait comme la loi unique du hasard "qui consiste essentiellement en ce que les phénomènes très peu probables ne se produisent pas". de la psychotechnique à la psychologie scientifique l’extension des applications pratiques de la méthode des tests n’a pas toujours marché de pair avec le développement de la recherche théorique. bien souvent, les applications ont même précédé cette recherche ou ont été opérées sans grand souci de leurs justifications théoriques. nombre de tests reposent encore sur une certaine psychologie des "facultés" ou sur une psychologie implicite du langage commun. les tests dits d’intelligence, de mémoire, d’attention, par exemple, pouvaient être conçus et utilisés comme servant à étudier l’intelligence, la mémoire ou l’attention, en supposant que ces mots désignaient des concepts très exactement définis et circonscrits, sur la définition desquels existerait un accord unanime. de nombreuses controverses sur la validité des tests d’intelligence s’expliquent ainsi par le souci assez vain de chercher à "mesurer" de façon précise par un instrument une entité dont les définitions sont à la fois vagues et multiples. cette conception, que recouvre assez bien le terme un peu vieilli aujourd’hui de psychotechnique, n’envisage ainsi que les applications pratiques en supposant la psychologie complètement et définitivement achevée, et en stérilisant par là toute recherche scientifique. plus féconde apparaît l’attitude qui envisage les résultats du test lui-même comme faisant partie des données d’expérience, comme étant propres à alimenter la réflexion et la recherche. c’est ainsi, par exemple, que la notion de construct validity est apparue en 1954 dans la version définitive des "recommandations techniques pour les tests psychologiques et les techniques de diagnostic" formulées par l’american psychological association. cronbach et meehl définissent le construct comme "un attribut hypothétique des individus, que l’on suppose être reflété par les résultats d’un test". cet attribut hypothétique doit être considéré dans un certain ensemble de relations résultant d’une procédure logique et expérimentale, la validation hypothético-déductive. l’analyse factorielle représente une des modalités intéressantes de cette démarche, en cherchant, par des procédures mathématiques rigoureuses, à isoler et à définir des facteurs qui ne tiennent leur existence que des comportements des individus dans les tests, mais dont la signification se précisera dans la mesure où l’on pourra les insérer dans des réseaux théoriques constitués par les relations que ces facteurs entretiennent entre eux et avec les différentes variables observables. m. reuchlin a clairement résumé cette problématique : "le fait que théorie et technique ne peuvent se définir que simultanément écarte tout d’abord certaines façons de poser ces problèmes. ainsi, on ne peut organiser un projet de recherches sur l’intelligence en considérant comme acquis le fait que tel test que l’on utilise mesure l’intelligence. on ne peut réciproquement entreprendre la construction d’un test d’intelligence en acceptant comme une formulation définitive telle définition théorique de l’intelligence qui deviendrait ainsi comme une réalité extérieure au test. il n’y a, en fait, dans un tel domaine qu’un seul type de recherche : celui qui fait progresser à la fois la théorie de l’intelligence et les moyens de l’observer ou de la mesurer. on voit ainsi apparaître des problèmes couplés, le problème théorique et le problème technique se situant dans deux perspectives réciproques, n’étant formulables que l’un par rapport à l’autre." jacques perse © universalis 9 - 2004   · en savoir plus précocité, documents de référence · sujet de philippe article le plus consulté précocité, documents de référence: enfants doués : signes et particularités du comportement la psychométrie | identification/création d'un compte | 0 commentaires seuil d'affichage : -1 0 1 2 3 4 5 sans commentaires imbriqué linéaire par sujets le plus ancien le plus récent le mieux 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