akalal il y 40000 ans
akalal il y 40000 ans
http://perso.wanadoo.fr/fidylle/docs/akalal.html
introduction
d’après
ce que certains spécialistes qualifiés en langues anciennes
nous ont communiqué, le préfixe aka serait la survivance
d’une très ancienne langue, vraisemblablement pré indo-européenne,
le dravidien.
aka signifierait tout
lieu, site ou agglomération pouvant ou ne pouvant pas être
enclos entre murs ou toutes autres formes de clôtures plus ou moins
élaborées où, bien évidemment, se rassemblait
ou vivait une population, une tribu, une famille ou tout groupe humain
organisé.
il existe encore,
sur notre planète, 42 sites nominativement répertoriés
comportant le préfixe aka, plus une dizaine d’autres attribués
à des cités légendaires, disparues ou oubliées
de nos contemporains, mais dont les noms se sont transmis par tradition
orale depuis des temps immémoriaux chez plusieurs groupes ethniques
différents répartis dans le monde.
en ce qui concerne
akalal, ce nom est celui du site d’un groupe humain parfaitement organisé
ayant vécu il y a environ 40.000 ans et implanté sur un point
précis de notre globe terrestre , là où actuellement
un désert aride recouvre par une épaisseur de sable de plusieurs
dizaines de mètres, lequel, à cette époque, était
un vaste territoire luxuriant, à la végétation abondante
et généreusement arrosé par des cours d’eau et des
fleuves.
nous ne tentons pas
de convaincre quiconque de la réalité de ce qui se passait
là il y a 400 siècles, mais tout un chacun peut être
septique et considérer cette ‘histoire’ comme totalement farfelue..
cette attitude a d’ailleurs été notre réaction et
durant de très longs mois nous avons soigneusement laissé
dormir au fond d’un tiroir, notes, cartes et cassettes audio enregistrées..
en attendant qu’un jour le hasard puisse venir confirmer cette époustouflante
révélation, prenant garde de n’en parler à quiconque
évitant ainsi toute appréciation sur notre crédulité
infantile à divulguer de telles absurdités..
le hasard étant
non seulement le meilleur allié des policiers.. il est aussi un
atout pour les chercheurs de toutes disciplines, d’aucuns ne nous contrediront
sur ce point !
quelques mois plus
tard, début mars 1983, le hasard, sous la forme de photos-radar
(photos nos. s-83-25010 et s-83-25919) prises par la navette columbia en
novembre 1981, reçues du ‘lyndon b. johnson space center’
de la nasa à houston (texas), est venu nous mettre sous le nez les
preuves irréfutables de la présence des restes d’un site
ayant bien existé avant que le désert de sable n’en prenne
la place.. reste à en démontrer la justesse de la datation
mais il doit bien exister d’éminents géologues pouvant déterminer
en combien de centaines de siècles tout un territoire tempéré
s’est transformé en un très vaste désert aride et
inhospitalier..
c’est alors que nous
avons décidé de transcrire sur papier cette ‘histoire’ ne
risquant plus les quolibets de nos semblables et n’écoutant
que les critiques constructives, laissant à chacun le soin de disposer
à sa guise de la faculté que chaque homme possède
avec son libre arbitre : croire ou ne pas croire !
avant la
création de l’irc à nice le 24 juin 1982, en l’année
1980 , avec une petite équipe de ‘complices’ nous assistions régulièrement
et chaque fois dans un endroit différent en région provence-alpes-côte
d’azur à des réunions d’informations, déjeuners-débats,
organisées par l’imsa, (institut mondial des sciences avancées)
menée par un autre ami de marseille, jimmy guieu , ecrivain de science-fiction
bien connu.
tous les sujets y étaient
abordés dans un esprit de raison et d’ouverture sur le concret évitant
de plonger dans les eaux troubles de la sotte béatitude. triant
sur le volet les différents orateurs, éloignant tous les
farfelus et autres farceurs. parmi les sujets traités il fût
question un beau jour, lors d’un déjeuner-débat dans un établissement
du massif de la ste-baume, dans les bouches du rhône, de la psychométrie.
et parmi les orateurs
présents, une jeune femme, barbara, aux réels talents de
psychomètre comme l’on n’en rencontre que trop rarement.
d’abord une précision
, la psychométrie c’est quoi ? c’est tout simplement l’art, à
travers un ‘témoin’, la plupart du temps un objet fort ancien, parfois
un ‘mobilier’ archéologique, de remonter le temps et décrire
ce qui se passait dans l’environnement, de dresser le tableau du site et
restituer les activités des personnages dans le lointain passé
de l’époque où cet objet avait, à son origine, sa
place normale.
des hommes connus ou
moins connus, tel stefan ossowiecki né en 1877 à moscou et
mort le 1° août 1944, abattu par les nazis à varsovie,
lequel avait travaillé avec de nombreux savants de son époque:
le directeur du muséem de varsovie, stanislas poniatowski,, mickael
kamienski, professeur d’astronomie et directeur de l’observatoire de l’université
de varsovie, jan lukasiewicz, mathématicien et logicien, stefan
manczarski, géophysicien, witold henser, l’un des plus éminents
archéologues polonais, sans oublier le professeur richet, prix nobel
de médecine en 1913, le professeur gustave geley et bien d’autres
tout aussi célèbres, ayant tous attesté l’authenticité
scientifique de cette pratique d’une des branches de la parapsychologie,
ayant permis à la science de l’archéologie de faire de notables
progrès dans les méandres de l’histoire humaine
stefan ossowiecki
cet homme
a apporté les preuves scientifiques que la psychométrie est
loin d’être une pratique discutable, n’ayant aucun rapport avec des
séances spirites ou occultes assez douteuses pouvant être
prétextes à duperie à l’intention de gogos avides
de merveilleux à bon marché, criant au miracle devant des
tours de prestidigitation habilement pratiqués par des ‘magiciens’
de pacotille.
cette science,
pratiquée par cet homme, a fait l’objet de rapports sérieux,
les expériences et les données rapportées furent ultérieurement
toutes vérifiées ‘in-situ’
sans tenter
de chercher à en démonter le ‘mécanisme subtil’
ni savoir comment l’on peut parvenir à remonter dans le passé
et à y retrouver des traces palpables, en particulier par l’archéologie,
tous les scientifiques ayant été confrontés avec le
talent de ce psychomètre, ont unanimement conclu à la réalité
du ‘phénomène’ et à son importance en matière
de preuve scientifique.
il n’y a pas
de bons ou mauvais psychomètres : il y a ceux qui le sont devenus
par leurs travaux personnels, en pénétrant le plus avant
qu’il soit humainement possible de le faire dans les replis les plus inconnus
du superconscient, et il y a les autres, ceux qui n’y sont pas parvenus,
ne pouvant atteindre ce stade et pouvoir ainsi se livrer avec succès
à cet ‘art’ qui paraît si simple et pourtant d’une incroyable
complexité à utiliser.
quelques-uns
ont recours à un objet ‘témoin ‘dont souvent la datation
est imprécise et, grâce à cet objet, souvent façonné
par l’homme, retracent tout un environnement et parviennent à reconstituer
un ensemble autour de l’objet considéré à l’époque
de son utilisation. cet objet n’est alors qu’un focalisateur duquel part
un fil invisible que le praticien n’a qu’à suivre pour remonter
le temps ..
d’autres n’utilisent
pas de supports physiques mais, placés en présence d’une
personne quelconque, remontent l’écheveau du passé en visionnant
les époques et tout ce qui entourait le sujet, ses activités
et les lieux où il avait vécu lors d’une ou plusieurs vies
antérieures. (croire ou ne pas croire à la réincarnation
? quelle importance, là n’est pas le sujet ! que chacun se débrouille
avec son ‘je crois ou je ne crois pas ‘)
je renvoie les
chercheurs de noms de psychomètres opérant ainsi à
celui d’edgar cayce, ce ‘visionnaire’ américain, décédé
en 1945 près de virginia-beach ayant fait des milliers de ‘lectures
de vies’, (l’on désigne sous le terme ‘lecture de vie, un diagnostic
ou une ‘révélation faite en état d’auto hypnose) dont
certaines ont été décrites dans des ouvrages parus
en france. evidemment c’est aux usa qu’une très abondante littérature
consacrée à la vie extraordinaire de cet homme est disponible
les mois passent et
quelques jours avant la fin décembre 1980, barbara et son ami sont
invités un soir autour d’une table, à nice. nous étions
six ou sept convives et évidemment les sujets de conversation ne
manquaient pas avec, comme futur objectif, l’éventuelle création
d’une antenne de l’imsa (institut mondial des sciences avancées)
dans les alpes-maritimes.
soudain,
la fourchette en l’air barbara, regarde fixement l’un d’entre nous et dit
: « ne bouge pas et faites silence !... je ‘vois’ quelque chose
d’incroyable ! ».
passées
quelques minutes de recueillement et de concentration mentale, rompant
le silence que tous avions respecté, durant prés de trois
heures barbara parle et raconte devant nous , médusés, une
histoire étonnante.
nous nous déplaçons
tous vers le salon attenant, plus confortable et plus intime où
un magnétophone branché rapidement a ensuite enregistré
durant un peu plus de deux heures lors de cette première séance
un récit des plus incroyables qui soit à tel point que, le
lendemain matin, au petit déjeuner il fut décidé qu’une
deuxième séance serait nécessaire pour achever
le récit, se procurer une carte des lieux décrits, y annoter
tout ce qui devait y figurer, répondre aux questions et peaufiner
tous les détails manquant encore...
le 21 février
1981 la seconde et dernière séance nous a ramené à
nouveau dans un passé vieux de quarante mille ans....
notre
ami, ayant servi de support à la ‘vision’ de barbara, malgré
plusieurs questions dans ce sens, ne sut jamais ce qu’il avait été,
ce qu’il faisait là-bas il y a quarante mille dans une existence
lointaine.. mais s’agissait-il réellement de lui, ou n’avait-il
été qu’un objet, témoin-véhicule nécessaire
à cette expérience.. il ne le sut jamais.. ni les autres
assistants non plus
après
avoir mis de l’ordre dans toutes les parties du récit, enregistrées
en vrac au fur et à mesure que barbara parlait, voici la synthèse
de cette ‘histoire’.
a k a l a l : ce n’était
pas encore le désert !
sur cette partie du
globe, dont il sera donné ultérieurement l’emplacement exact,
où se situe actuellement un vaste désert de rocailles et
de sable, s’étendait à l’époque un immense territoire
fertile, couvert d’une végétation luxuriante au milieu de
laquelle serpentaient des cours d’eau. du haut de falaises, devenues aujourd’hui
des collines de pierrailles brûlées par le soleil, tombaient
de nombreuses cascades d’eau fraîche.
des populations
groupées, en ce que nous pourrions nommer des villages dont les
cases, ou plutôt les maisons, étaient dépouillées
de mobiliers superflus, aux intérieurs simples mais très
confortables et, prés de la porte de chacune, des ruches.. une ou
plusieurs ruches en activité et placées là où
nous serions maintenant plus habitués à y voir une ou des
niches à chiens !
partout régnait
une paix simple et naturelle impossible à concevoir avec l’état
d’esprit des hommes du xxi° siècle. tout dans ces ‘villages’
respirait la sérénité, la vie harmonieuse et sans
problèmes, enfin tels que nous pouvons actuellement les imaginer,
découlant d’une vie communautaire.
sur une
question précise, barbara a mentionné à plusieurs
reprises et en insistant sur ce fait, que ces habitants du pays d’akalal,
ainsi que ceux des autres peuples évoluant eux aussi à
cette époque, étaient les descendants de civilisations plus
anciennes, antérieures et contemporaines de celle des atlantes.
il y avait à
cette époque des matériels et des produits élaborés
avec des matériaux que nous ne pourrions plus ni créer, ni
utiliser à l’heure actuelle. ils étaient à base de
matières premières que nous ne saurions plus transformer
à partir de ce que nous possédons car, d’une part, nous en
avons perdu et oublié les techniques et, c’est le plus important,
nous n’avons plus la même morphologie biologique et surtout mentale
et psychique que possédaient ces très lointains ancêtres,
contemporains de ces époques reculées.
si nous
retrouvions intact un individu de cette période, les différences
morphologiques constatables nous apparaîtraient très infimes,
mais en réalité très importantes sur le comportement
physique, totalement différent du fait du large fossé séparant
nos facultés psychiques et mentales actuelles de celles autrement
développées dont étaient dotés
ces hommes du passé...
et, conséquence
fondamentale de ces différences, un autre facteur intervient dans
le comportement, l’état du mental, du psychisme et donc des activités
de ces temps : sur le plan cosmique notre terre ne recevait pas les mêmes
influx ionisants, le magnétisme terrestre et le sens de rotation
du globe n’étaient pas non plus les mêmes que maintenant.
a notre bien compréhensible surprise en entendant cette ‘révélation’
l’un de nous posa une question « mais comment conçois-tu
ce dont tu parles ? »
« c’est
ce que suggère ce que je vois. il me vient l’image d’une voiture..
oui d’une voiture .. je comprend : c’est la réponse à ta
question ! » - un silence, puis « imagine, tu prends ta voiture
pour aller de marseille à lille. tu vas traverser toute la france
et, suivant la météo, tu rouleras successivement dans une
zone de soleil, puis de pluie et peut-être aussi de brouillard, pour
passer sous un orage. sur mille kilomètres tu rencontreras des différences
de temps, alors tu as compris. notre terre fait partie de notre système
solaire, lequel est inclus dans une galaxie, une parmi des milliards.
notre système
solaire se déplace à une vitesse incroyable, entraîné
par ‘notre’ galaxie et tous ces ensembles traversent, eux aussi, des zones
de ‘climats’ intergalactiques différents et comme le vide est une
notion fausse, il y a ce que beaucoup nomment l’ether, dont nous ne connaissons
d’ici, de notre petite tête d’épingle qu’est la terre, encore
pratiquement rien sur la diversité de la composition éthérique
du soit-disant vide sidéral, nous devons admettre qu’au cours des
âges, nous subissons des influx différents dont les fréquences
et les durées nous sont inconnues.»
notre planète n’était
pas la même..
la pesanteur sur terre
alors était également différente, tous ces phénomènes
paraissant aberrant actuellement, était dus au fait que notre galaxie
toute entière traversait une certaine ‘zone cosmique’ qui n’était
pas celle dans laquelle nous évoluons depuis déjà
des milliers d’années.. barbara ajouta : « la qualité
de l’air et de l’atmosphère était hétérogène
et que ‘quelque chose’ vibrait différemment dans l’air ! »
donc,
si l’homme était en apparence physiquement semblable à ce
que nous sommes, à quelques infimes différences près,
mais très importantes sur son comportement, il ne vibrait pas lui-même
sur la même partition de fréquences tel que nous ‘vibrons’
actuellement. les fréquences potentielles n’étaient pas comparables
sur le plan énergétique physique et, à cette époque,
il utilisait davantage ses facultés mentales et psychiques, la force
de la pensée était chez lui une complémentarité
physique, technologique, pourrions-nous même affirmer..
considérant
ces concepts, il serait donc vain et ridicule de tenter une comparaison
car, si l’environnement était similaire, même si nous ne trouvions
guère de dissemblance en comparant notre environnement actuel ,
nos facultés mentales et psychiques n’auraient plus les mêmes
fonctions et nous serions étonnés de la somme de puissance
énergétique que nous pourrions déployer si,
dans tout cet environnement vibratoire, nous y étions placés
durant le temps nécessaire à une accoutumance laquelle, sans
nul doute, malgré cet aspect positif, serait infiniment pénible,
sinon dangereux à tous les niveaux de nos facultés.
cela peut nous aider à comprendre le danger pour certains
inconscients non ou mal préparés, à tenter des ‘expériences’
dites spirites ou encore de certaines formes de yoga mental particulier,
desquelles ils sortent complètement ‘déphasés’ si
toutefois, et cela est hélas déjà arrivé à
certains plus souvent qu’on le croit, une issue fatale physique ou psychique
les envoie ‘ad-patres’ ou.. dans le meilleur des cas, deviennent pensionnaires
à vie dans un établissement spécialisé des
affections psychiatriques....
sans le
savoir et même sans en avoir conscience, ils quittent une fréquence
vibratoire habituelle pour entrer, même durant peu de temps, dans
un autre niveau fréquentiel auquel le corps humain et le tissus
neuronique de notre cerveau ne sont pas accoutumés.
la tradition
orale, transmise à travers de longues périodes du temps de
notre terre, qu’entretenait au long des siècles la lignée
des grands initiés, s’étant succédés
au delà des bouleversements planétaires, des cataclysmes
naturels et ceux provoqués par les hommes, apportait et transmettait
le souvenir de générations d’hommes différents (géants,
dieux, etc..)
toutefois cette transmission
orale de l’enseignement de connaissances originales avait un grave défaut
: il se modifiait imperceptiblement, par déformation progressive
des langues et des dialectes et aussi par l’interprétation de toute
une symbolique, qui tout en restant identique dans les tracés (un
carré reste toujours un carré, un cercle, un cercle, etc),
changeait imperceptiblement de sens au fur et à mesure que les structures
mentales évoluaient.. les dizaines de siècles passant, la
connaissance originale ne pouvait plus avoir la même signification
révélée ‘en fin de course’..
il est alors facile de comprendre
pourquoi, il y a encore quelques siècles et même actuellement
encore chez certains groupes humains, les maîtres tentaient de ‘ressembler’
à leurs ancêtres et conserver ainsi les mêmes pouvoirs,
facultés et connaissances..
les seuls pouvoirs
qu’ils détenaient encore résidaient dans la pratique d’exercices
psychiques et les bribes de connaissance leur restant, pouvaient encore
leur donner l’apparence d’une supériorité sur la masse profane
ignorante et superstitieuse.
il n’est pas
non plus étonnant de constater que les prêtres égyptiens
et ceux des civilisations précolombiennes en amérique centrale
sont presque toujours représentés avec le crâne allongé.
pour ce faire les hommes destinés à être initiés,
donc recevoir certaines connaissances et à devenir des chefs
spirituels, étaient choisis dés la plus jeune enfance suivant
des critères nous restant encore obscurs mais qui, vraisemblablement
à la suite de positions planétaires à leurs naissances,
déterminant ainsi leur devenir, comme membres officiants
d’une certaine élite , celle des prêtres, dans cette société.
cette sélection
faite, le jeune crâne était emprisonné entre des planchettes
de bois, fermement maintenues en place par des bandelettes de toile que
l’on serrait progressivement durant toute la prime croissance, lui donnant
cette forme allongée particulière :
cette déformation
anatomique devait permettre à l’individu soumis à ce traitement,
d’atteindre et d’utiliser des facultés ‘psy’ que bien évidemment
la masse du peuple ne pouvait acquérir.. sans cette ‘préparation’.
il reste toutefois
à se convaincre que ces déformations apportées au
cerveau, de par la forme que lui conférait la boîte crânienne,
puissent avoir une réelle influence déterminante sur des
possibilités psychiques et mentales, plus fécondes pour les
exercices particuliers qu’auraient à pratiquer des prêtres
et des maîtres initiés..
a notre avis,
et nous penchons davantage pour cette théorie valant tout autant
que la précédente, c’est plus par ‘mimétisme’
que cette déformation anatomique était pratiquée.
en effet, il
faut comprendre que lors de la description faite des individus nous
ayant précédés et, en particulier ceux que les
deux séances de psychomètrie lui avait fait ‘visionner’,
qu’ils avaient effectivement le crâne plus allongé vers l’occiput,
forme que l’on retrouve parfois lors de trouvailles sur ces sites archéologiques.
c’est peut-être
cette légère différence anatomique qui, entr’autres,
procurait à nos lointains ascendants certains avantages dont ils
tiraient naturellement profit, sans que cette particularité leur
semble extraordinaire car ils en étaient tous dotés.
ce n’est pas exclus, mais n’en constitue pas une preuve absolue, tout au
plus cette disposition de la boîte crânienne peut prétendre
suggérer cette hypothèse.
une harmonique physique et psychique..
de par toutes
les conditions réunies venant d’être citées, bien différentes
de celles qui nous sont connues actuellement, les hommes de cette époque
disposaient donc de la maîtrise de l’ esprit sur la matière..
ces possibilités peuvent
sembler aberrantes à nos sens actuels mais, n’oublions pas que nous
sommes placés dans un contexte tout autre que celui dans lequel
évoluaient ces hommes ‘préhistoriques’ d’il y a quatre cents
siècles !
il y a deux aspects nettement opposés
pouvant se faire jour à la lecture de la synthèse de ce que
nous avons entendu nous être énoncée : ou bien nous
admettons que tout ceci a très bien pu être ou alors, en vertu
du droit fondamental que possède chacun d’entre nous, de rejeter
tout ce qui est révélé ici, et en doutant aussi du
procédé nous ayant permis d’être en possession de ces
étonnantes informations..
nous rapportons des faits que,
par recoupement, nous considérons comme exacts car nous sommes
absolument certains que les disciplines de sciences dites ‘parallèles’
sont à prendre au sérieux, telle la psychométrie,
une science exacte dont nous ne pouvons plus douter.
trop de sommités savantes
de par le monde, au rationalisme indélébile, ont eu la preuve
du sérieux de cette pratique, ayant eu les moyens de vérifier
matériellement sur sites les informations reçues par ce procédé
paradoxal par des praticiens de valeur dans l’art de la psychométrie.
une autre coïncidence étonnante
: il est extraordinaire qu’un homme comme pierre guilder, dont nous avons
exposé par ailleurs les travaux ‘inconscients’ nous ait apporté,
au travers des traductions et interprétations de ses ‘codex’,
des confirmations troublantes cadrant avec ce que notre amie barbara
nous a révélé de son côté.
tout au long de notre queste
permanente de la connaissance, en chercheurs pragmatiques nous interdisant
toute incursion dans les méandres aléatoires de la subjectivité,
nous avons été amenés à comprendre que des
méthodes différentes d’investigation nous apportaient des
éléments identiques quant aux utilisations extraordinaires
des energies de plus en plus variées découvertes (ou plus
exactement redécouvertes) ayant un point commun dans leurs applications,
en particulier celles de l’harmonique bien connue des illustres chercheurs
mathématiciens-physiciens des xv° au xviii° siècles.
plus les fréquences vibratoires
de la pensée sont sensibles à celle de l’environnement immédiat
ou lointain, plus il est aisé pour l’homme de maîtriser les
énergies qui l’entourent et celle dont il est le porteur potentiel
ne soyons donc plus étonnés
que des individus ayant vécu en des temps reculés, possédant
des facultés qui ne sont plus les nôtres - ou
tout au moins dont il ne nous reste que quelques lambeaux épars
et incontrôlables - aient été capable d’activités
physiques qui nous échappent.. et qu’il est bien difficile d’admettre
: nous sommes désormais devenus psychiquement différents.
notre structure mentale est toute autre.. des centaines de siècles
nous en séparent et si nous prétendons que l’espèce
humaine a évolué, l’on peut se poser froidement la question
: dans quel sens ?..
ces hommes d’un autre âge,
tellement éloignés de nous qu’ils peuvent sembler appartenir
à un autre monde, n’utilisaient pas la pensée telle que nous
pouvons le supposer .
il ne leur suffisait pas de formuler
un ordre mental pour, par exemple, soulever de terre des objets dont le
poids dépassait celui de leurs possibilités musculaires..
ceci est une vue simpliste !
ils utilisaient des ‘supports’ jouant
le rôle d’accélérateurs psychiques, ou d’amplificateurs.
ces ‘supports’ étaient des minerais d’une pureté telle
que leur matière en devenait vivante.. ainsi d’ailleurs qu’ils le
sont toujours restés.
ces supports étaient des
cristaux -toujours présents parmi nous- que nos physiciens
utilisent de plus en plus. leurs applications en sont infinies.. mais,
nous ne disposons plus de certaines facultés psychiques permettant,
pour certains, de les ‘activer en ‘accordant’ nos propres fréquences
avec celle de leur vibration moléculaire.. chacun suivant sa destination
!
chaque cristal, ayant sa structure
particulière, pour pouvoir ainsi devenir ‘actif’ sous le contrôle
fréquentiel du psychisme de l’homme, doit être lui-même
placé dans des conditions que ces gens-là maîtrisaient
parfaitement, afin que sa structure moléculaire soit en parfait
accord avec la fréquence vibratoire pouvant être émise
par le cerveau humain.
malgré tous les efforts de
barbara, pour tenter de décrire avec des mots précis ce qu’elle
‘voyait’, il lui était impossible de traduire des procédés
technologiques dont elle visionnait les applications que, même un
physicien hautement qualifié, s’il avait eu la possibilité
de les voir lui-même fonctionner, serait incapable d’en décrire
et d’en expliquer les techniques.
il n ‘aurait pas les moyens
matériels de mesures fréquentielles déterminant les
effets produits. nous ne disposons pas d’appareils étalonnés
ou étalonnables le permettant car, s’agissant de notions nous
échappant totalement, nous ne pouvons les imaginer !
a l’écoute, ou la réécoute
des propos de barbara, nous avons le très désagréable
sentiment d’être placés face à des inconnues dont les
structures sont insaisissables à nos sens et à nos paramètres
habituels..
nous nous retrouvons, dans un autre
domaine, confrontés aux mêmes dilemmes technologiques que
les plus éminents spécialistes devant les conséquences
du phénomène ufologique, dont on a constaté les effets
ou même dans certaines unités de centres de recherches aux
usa, ayant tenté d’analyser des ‘métaux’ composant les structures
d’engins ‘crashés’ récupérés au sol, sont dans
l’impossibilité de comprendre et d’émettre la moindre théorie
(officiellement tout au moins) sur l’utilisation d’alliages de divers métaux..
intimement associés à des particules cristallines (encore
-et pas par hasard- le cristal !)
il est certain que lorsque nous
aurons avancé de quelques pas dans ce domaine, qui réservera
à la science quelques surprises bien plus grandes que la re- découverte
des applications de l’électricité, nous serons étonnés
des révolutions technologiques qui pourront en découler...
le pays d’ a k a l a l ....
c’était un pays que l’on
pourrait qualifier de merveilleux..
a l’endroit précis qu’avait
‘visionné’ barbara, la petite bourgade était composée
d’environ quarante familles environ. la population était disséminée
par petits groupes, lesquels se consacraient à l’agriculture tout
en étant, et c’est un paradoxe impensable de nos jours, capables
de réalisations technologiques dépassant notre entendement
‘moderne’.
ce qui a étonné notre
amie psychomètre laquelle, devant les ‘visions’ sur l’extraordinaire
écran de son superconscient, s’exclamant en découvrant ces
images d’un autre temps, c’étaient les superficies démesurées
des surfaces cultivées par rapport à la très faible
démographie.
ainsi qu’elle le décrivait
elle-même : « des champs ! des champs immenses, magnifiques
et à perte de vue » .. « toutes ces récoltes
étaient destinées à d’autres contrées, mais
très éloignées ailleurs sur notre globe ! »
ce qui est paradoxal, ainsi qu’elle
continuait à le dépeindre, c’était le fait que les
rendements colossaux de céréales et d’autres produits du
sol ne posaient pas de problèmes de récoltes.. comparé
à la quantité de main-d’œuvre qui serait à l’heure
actuelle nécessaire, même avec nos moyens mécanisés
les plus importants .
malgré tous nos efforts de
compréhension de ce qui était exposé concernant la
technologie, les techniques utilisées par ces ancêtres oubliés,
il a été pratiquement impossible à barbara de traduire
avec des termes usuels comment ces généreuses récoltes
, ces vastes étendues cultivées pouvaient être fauchées,
ramassées et stockées par un si petit nombre d’hommes lesquels,
d’après ce que nous comprenions ne prenaient aucune part active
et physique à ces travaux !
toute référence avec
nos moyens modernes, même les plus sophistiqués, ne trouvent
aucune valeur comparative !
elle insistait surtout sur une utilisation
très développée de cette mystérieuse
‘énergie’ largement amplifiée et domestiquée, ‘dirigée’
à l’aide du ‘cristal’...il s’agit de connaissances nous échappant
totalement : nous n’appartenons plus au même ‘monde’ .. c’est aussi
simple que ça !
si par un miraculeux procédé
nous avions la faculté de nous déplacer dans le temps et
à l’aide d’une ‘machine’ (telle que celle imaginée
par wells) et que, grâce à ce chronogyre nous avions la curiosité
de nous rendre chez des ancêtres de seulement un millénaire
en arrière, avec quels mots compréhensibles à leur
entendement pourrions nous leur expliquer ce qu’est une automobile, un
avion ou même une faucheuse-batteuse. de quels mots pourraient-ils
se faire une image de l’essence .. ou même tout bêtement d’une
ampoule électrique..
face aux révélations
sur la civilisation à laquelle appartenaient les habitants
d’akalal, nous sommes placés dans la même situation irritante
: ne pas pouvoir traduire ce qui nous a été transmis.
tout ce qui nous est seulement possible
de tenter, c’est de transcrire le moins approximativement possible,
rapporter avec le maximum de fidélité les images défilant
sur l’écran d’une ‘superconscience’.. que nous ne pouvions pas voir,
mais décrites par notre amie avec des mots de notre temps...
ainsi par exemple, nous apprenions
que ces monceaux de récoltes étaient stockées dans
des containers cubiques sortes de petits de silos, lesquels n’étaient
ni en bois, ni en métal.. mais constitués de ‘fétus
de pailles concassés, pressés et agglomérés
par ‘collage’ : ils étaient d’une solidité et d’une résistance
incroyables ! et que ces ‘containers’ reposaient sur
de très grandes aires constituées d’immenses ‘tapis’ de la
même matière.
« imaginez de très
vastes tapis constitués de la paille des longs fétus
de blé, collés et pressés : cela peut faire de très
beaux tapis et très solides ! » ajoutait notre amie.
ensuite que, par une technique
‘miraculeuse’ pour nos concepts actuels, ces containers cubiques
étaient déplacés et chargés par des procédés
‘de lévitation ou autres’ - comme on pourra le comprendre !- car,
ni les hommes n’intervenaient directement ou indirectement « aucun
appareil ou engin de levage ou de transport n’était visible à
proximité immédiate »
parvenus à ce point
de l’exposé de cette ‘histoire’, nous ne pouvons passer sous silence
certaines révélations faites par edgar cayce, (‘the sleeping
prophet’). plusieurs ‘lectures de vies’ concernant l’atlantide, dont les
enregistrements sténographiés, transcrits et classés
par ordre thématique et chronologique, sont à la disposition
de tout un chacun à la fondation cayce, en écrivant à
l’adresse suivante : ‘individual référence file.dept. - membership
services - a.r.e. box 595, virginia beach, va 23451 -usa-
en substance, résumant l’essentiel
de plusieurs longues ‘lectures de vies’ dictées par edgar cayce
durant des phases de sommeil paradoxal, nous citons les principales révélations
sur l’atlantide lesquelles ont été révélées
par bribes de 1923 jusqu’en 1932, certaines révélations
de cet homme sur ce soit-disant ‘légendaire continent’, concernent
en effet une époque de moins 50.000 ans !
edgar
cayce
ce qui nous intéresse sont
les révélations, pouvant aider à comprendre une partie
de notre ‘histoire’ d’akalal sur, en particulier , une forme d’énergie
solaire captée par un cristal pouvant expliquer le ‘fonctionnement’
d’une forme de technologie utilisée pour, entr’autres, ‘enlever
et transporter’ les silos des récoltes...
il ne s’agit rien moins que
d’une ‘technique’ suffisamment avancée pour qu’à cette époque,
des hommes aient su capter les rayons éthérés
ou cosmiques du soleil et s’en servir comme principale source d’énergie
(pourquoi pas car, soyons modestes, à l’aube du iii° millénaire
nous n’avons encore pas tout re-découvert : nous n’en sommes
qu’à l’énergie atomique !)
dans un grand édifice en
coupole dont le toit s’escamotait, y était placé un
large cristal cylindrique, taillé en facettes de telle manière
que la facette supérieure de couverture centralisait toute la puissance
qui se concentrait depuis l’extrémité du cylindre jusqu'à
la facette de couverture.
ses puissants rayons pouvaient pénétrer
partout.
ces radiations demeuraient invisibles
à l’œil nu, mais leur force d’impulsion était capable de
soulever des pierres.
cette énergie propulsait
des avions mus par des gaz (cayce emploie les mots de son époque)
ou guidait des véhicules de plaisance qui glissaient à la
surface du sol, ou des bateaux sous-marins.
des stations distribuant cette énergie
étaient installées sur tout le continent atlante et ailleurs.
cayce décrivit aussi un autre
rayon à l’aide de ‘la pierre de feu’ (il parlait du rubis) dont
« la force de radiation est obtenue en accumulant de l’énergie
sur un petit cristal isolé , doué de propriétés
magnétiques spéciales, qui permettent au cristal d’émettre
davantage d’énergie qu’il n’en reçoit » ajoutant même
que ce rayon serait découvert par ses contemporains dans les vingt-cinq
années prochaines, il décrivait donc déjà en
1932, la future découverte du laser..
barbara ajouta alors : «
a cette époque reculée, il y avait sur notre terre d’immenses
zones complètement vides d’habitants. c’étaient des territoires
que l’on pourrait comparer aux forêts tropicales que nous connaissons
et, sur d’autres parties du globe, sur des parties plus accueillantes,
moins hostiles et tempérées, les cultures étaient
intensives. il n’y avait pas de grandes métropoles. les populations,
infiniment moins nombreuses que nous le sommes actuellement. il y avait
très peu de femmes et très peu d’enfants. ils vivaient dans
de modestes cités ou dans d’infimes bourgades comme celle
d’akalal.
« faisant ensuite la synthèse
de nombreuses descriptions ( ces deux séances de psychométrie
ont représenté presque six heures de récits -entrecoupés
de nos multiples questions- des ‘visions’ de barbara), il nous faut comprendre
que l’aspect de notre planète ne correspondait pas à celui
qu’elle présente actuellement. »
« sur certains continents
des fleuves, tel que le nil pour ne citer que celui-là, ne coulaient
pas dans le même lit. a akalal, il ne pleuvait que trois mois par
année et, le reste du temps, sur les zones cultivées l’eau
montait par capillarité (par un procédé non décrit
!) des nappes phréatiques souterraines qui se trouvaient à
faible profondeur.. qui existent toujours actuellement mais à des
centaines et des centaines de mètres sous le sol !
l’atlantide -qui n’est pas une fiction
quoique l’on puisse en dire- occupait sa place au milieu de l’océan
et était le ‘phare’ de la civilisation et des connaissances,
plus exactement le ‘cerveau’ du monde de cette époque ».
imaginons le soleil se levant à
l’ouest, sur une autre longitude que celle propre à l’inclinaison
de l’axe de la terre que nous connaissons : les pôles étaient
déplacés par rapport à leurs positions actuelles.
il existe de nombreux ouvrages de
références, rédigés par d’éminents spécialistes
scientifiques, apportant les preuves géophysiques des ‘fantaisies’
de notre planète..
un livre très sérieux
de john white édité en 1980 par les éditions
doubleday & co, inc., garden city à new-york, sous le
titre ‘pole shift’.. malgré nos efforts nous n’avons rien
trouvé en france sur ce sujet ( !)
de surprenantes révélations..
la contrée ou se situait
akalal était une zone de culture intense - une zone rurale
dirions-nous maintenant - mais dont les limites cultivables étaient
déterminées à l’avance et, comme la forêt était
partout présente dans cette contrée, les superficies à
cultiver étaient préalablement déboisées avec
des ‘moyens matériels, qu’un faible nombre d’hommes mettaient en
action’, un peu maintenant comme dans nos usines, des robots automatisés
surveillés par trois ou quatre hommes font le travail de centaines
d’ouvriers. c’est à peu près la comparaison qui nous en a
été faite !
la culture du blé représentait
l’activité principale des gens de cette petite localité,
il présentait d’ailleurs, comme toutes les cultures, la particularité
d’être ‘monstrueux ! nous comprendrons mieux pourquoi
et comment quelques pages plus avant.
l’écoute des enregistrements
de ces surprenantes révélations intrigue au plus haut point
! il est question d’épis de blé gros comme ceux du maïs
et dont les tiges mesuraient près de deux mètres de
haut ! !
les vignes, qui étaient en
place un peu plus loin hors des limites d’akalal, présentaient la
même étonnante disproportion : des grappes énormes
dont les grains étaient aussi volumineux que des prunes ! ! (il
existe en israël un symbole graphique représentant deux hommes
marchant l’un derrière l’autre, portant ensemble un bâton
posé sur les épaules servant de support à une gigantesque
grappe de raisin.. est-ce une rémanence d’un certain passé
?)
l’étonnement des témoins
des récits entendus ne fut pas moins grand d’apprendre que le transport
de ces récoltes pléthoriques n’était pas très
orthodoxe !
celui du transport des ‘champs’
aux aires de stockage se faisait par câbles soutenus par des poteaux,
un peu la même technologie que celle de nos téléphériques,
systèmes eux aussi largement automatisés. (comment
? barbara décrivait ce qu’elle ‘voyait’ mais quant à savoir
comment cela fonctionnait, elle ne parvenait pas à le décrire
avec les mots de notre vocabulaire du xx° siècle !)
si nous savions déjà
que les zones de cultures étaient fortement disproportionnées
en comparaison de la faible densité de population - qu’il y avait
donc surproduction - il a été demandé à notre
amie de répéter plusieurs fois vers quelle destination ces
récoltes pouvaient bien être acheminées et au profit
de qui.
nous avons hésité
à passer les moyens de transport sous silence tant ils échappent
à nos critères rationnels ! nous livrons ces "révélations"
telles qu’elle sont conservées sur la bande magnétique de
la cassette d’enregistrement :
« lorsque le moment était
venu d’enlever ces récoltes de blé, arrivait par voie aérienne
un engin, dont l’apparence pourrait nous faire penser à un ‘overcraft’
se déplaçant sur coussin d’air, mais d’un tonnage bien plus
important et de bien plus grande capacité., comme un de nos
navires cargos ou de nos ferry-boats. sur la rampe d’accès
inclinée de cet appareil les containers glissaient vers l’intérieur.
»
malgré nos nombreuses questions,
il fut impossible de faire décrire comment, ni par quels procédés
techniques cette opération était réalisée.
« le chargement terminé
-sans aucune intervention humaine visible- le déplacement (le vol)
de cet engin s’effectuait sans aucun bruit. a bord se trouvait un cristal,
dans un ‘logement approprié, qui captait une ‘énergie’ en
provenance d’une ‘source centrale’ bien loin d’ici et qui servait à
la sustentation et à la propulsion ».
nous voici à nouveau confrontés
à ce ‘minerai intelligent’ aux fonctions multiples : condenseur,
accélérateur et amplificateur synergique.
il serait évidemment très
passionnant de comprendre comment obtenir une telle maîtrise des
énergies cosmiques et solaires, puisque ces forces captées
par une ‘centrale’ savamment domestiquées étaient utilisées
pour la propulsion de véhicules.
imaginons qu’une onde radio
serait énergétique et qu’à bord d’une voiture ou d’un
avion se trouve un ‘récepteur adapté à cette fonction’
et.. cette onde radio deviendrait carburant ! !
(nicolas tesla, ce fameux
physicien, nous y a mis sur la voie mais -comme par hasard- ses découvertes
et inventions les plus importantes dans ce domaine ont été
occultées et dorment dans certains coffres et, avant lui,
un autre, un russe, inventeur d’un tel procédé, mais
capable d’envoyer l’explosion d’une cartouche de dynamite à très
grande distance par une onde radio, ayant eu la lumineuse idée de
révéler son invention aux autorités.. on le
trouva mort quelques jours plus tard assassiné par les sbires de
la police du tzar, son laboratoire détruit par le feu et tous ses
écrits ont mystérieusement disparu ! )
un étonnant support...
pendant un assez long moment, qui
fut un de ces intenses laps de temps qui émerveillent et tiennent
en haleine le chercheur dont les pensées tournent à des milliers
de tours-minute et dont les neurones sont soudainement suractivés,
barbara nous révélait la description, la composition et l’utilisation
d’une autre de ces merveilles minérales que possédaient les
hommes de cette époque..
« c’était un
cristal particulier que ‘fabriquaient’ ces étonnant ancêtres,
avec la même facilité que nous pouvons modeler un morceau
de terre glaise.. ce produit extraordinaire avait pour ‘base interne’ un
plasma semi-solide, une sorte de gelée très consistante d’une
belle nuance légèrement bleutée, un peu celle d’un
diamant blanc-bleu.. ce ‘plasma était de la même matière
composante de l’univers entier » ( ?) (un plasma quantique ?)
barbara, après une petite
pose, reprend : « la fabrication de ce plasma avait une source énergétique
psychique, c’est à dire que l’homme, de par ses ‘dispositions bio-physiques’
(dont il était doté à akalal) bien différentes
de celles qui sont les nôtres, avait la faculté de ‘condenser
son énergie mentale’ en un produit subtil : ce fameux cristal-plasma.
»
pour une meilleure et plus abordable
compréhension de la matérialisation de ce phénomène,
nous ouvrons une parenthèse permettant au lecteur non averti
de ces ‘techniques particulières’ relevant de données
scientifiques récentes, ou tout au moins récemment synthétisées
et plus largement diffusées au public, de comprendre un des
aspects de cette application physique synergétique à partir
d’éléments subtils encore inconnus il y a quelques années.
il n’y a pas si longtemps , il était
encore admis que le vide intersidéral dans lequel nous évoluons
était absolu et, puisqu’il fallait bien le désigner
par un mot, ce vide était baptisé éther dans le langage
des hommes.
le physicien maxwell, célèbre
par ses travaux sur le magnétisme et l’électricité,
n’énonçait-il pas « l’ether n’est qu’un prête
nom du vide ». il a d’ailleurs à cette époque et par
la suite été suivi par des sommités scientifiques,
telles que walter nernst, prix nobel de chimie en 1920, le physicien français
fabry, connu pour ses travaux sur les interférences et bien d’autres.
ceci jusqu’au moment où un
dénommé einstein apporte une certaine perturbation,
bousculant les idées reçues et les théories admises,
en établissant dés 1905 la théorie synergétique,
découlant de l’idée de base de la relation énergétique
essentielle entre les photons et les électrons : la relativité.
une théorie générale
de l’univers naissait, de laquelle découlait alors de nombreux travaux,
dont il est ressorti une notion fondamentale : l’on fut amené à
considérer tout phénomène physique comme étant
le résultat de l’interaction de milieux énergétiques
localisés dans l’espace.
la porte était à nouveau
ouverte vers les redécouvertes des physiques, découlant des
lois de l’univers que possédaient nos lointains ancêtres,
dont les applications étaient fonction de technologies adaptées
à leur fonctions bio-physiologiques qui n’étaient pas celles
que nous possédons à l’heure actuelle.
il nous est nécessaire dans
nos laboratoires de tenter de recréer artificiellement ces facultés,
afin de pouvoir approcher certains résultats qui étaient
obtenus tout naturellement sans le support technologique qui nous est devenu
indispensable.
au début était le
verbe ! de cette notion, de cette révélation fondamentale
faite aux hommes, ou plus exactement léguée aux hommes par
des ecrits sacrés, afin qu’ils en comprennent le sens caché,
il découle que tout est vibration, que tout baigne dans un flot
de fréquences harmoniques, assurant l’équilibre de tout l’univers.
ceci est un constat d’ensemble. une base de compréhension générale,
indispensable et nécessaire à toute étude de phénomène
inconnu : un préliminaire sans lequel toute recherche serait vaine...
mais cette notion de vibration se
trouve liée à d’autres paramètres plus subtils, dont
il n’est pas aussi évident qu’on le pense d’en apporter la preuve
physique ou mesurable de leur réalité et de leur présence
dans tout l’univers.
si la vibration est un élément
moteur primordial devant être obligatoirement mis en action pour
obtenir un résultat, il n’en demeure pas moins évident que
si ce ‘moteur’ tourne dans le vide, ou vibre sans accord, il ne produira
rien.. ou encore pouvant vibrer sur une autre fréquence particulière,
sans savoir trop bien à quel paramètre elle peut correspondre,
une catastrophe, même miniaturisée, peut se produire !
c’est exactement comme si un enfant,
souhaitant faire une surprise à sa maman en voulant faire une mayonnaise,
place un jaune d’œuf dans un bol et met le batteur en action sans ajouter
d’huile. il n’obtiendra rien d’autre qu’un jaune d’œuf battu.. ou encore,
sachant vaguement que du vinaigre doît y être ajouté,
mais sans avoir appris qu’un petit filet de vinaigre lorsque le mayonnaise
est déjà prise s’ajoute pour lui donner un certain
goût, il remplace l’huile par le vinaigre le résultat sera
une mini-catastrophe et l’effet de surprise se terminera en larmes
et c’est ainsi, parfois en toute
bonne foi, que l’homme joue à l’apprenti sorcier, sans appréhender
par ignorance patente, tous les paramètres des forces potentielles
qu’il manipule.
wolfgang pauli, prix nobel de
physique en 1945, célèbre pour ses travaux sur la théorie
quantique des champs magnétiques, a découvert en 1930 qu’il
existe dans l’espace -donc partout dans l’univers- une energie sans
commune mesure avec tout ce que l’homme peut imaginer : une energie cosmique
diffuse incommensurable.. que sont devenus ses travaux ? d’autres physiciens
se sont-il lancés sur cette ‘piste’ ?
compte tenu des enjeux économiques
et financiers colossaux de l’industrie pétrolière.. la réaction
officielle a-t-elle été la même que pour certains travaux
de nikola tesla?
un silence officiel s’étend
sur toutes ces recherches : les conséquences révolutionnaires
de leurs applications potentielles sont imprévisibles : trop d’intérêts
économiques mondiaux sont en jeu, d’une part, et d’autre part la
remise en cause des fondement de la science traditionnelle laquelle, risque
fort de vaciller.. en faisant trembler les confortables et douillets fauteuils
des académies !
le neutrino inconnu...
cette parenthèse refermée,
reportons-nous vers ces ancêtres ayant détenu ce legs de combien
de générations antérieures : une puissante source
énergétique, domestiquée avec intelligence.. tout
au moins durant cette époque où akalal a été
‘visionnée’ par notre amis psychomètre.. car après
?... l’on ignore tout du sort de ces hommes et comment leur civilisation
a , elle aussi, disparu !
lors des deux séances, pendant
lesquels barbara a fait une incursion dans le passé, il a été
pratiquement impossible de déterminer comment ce fameux cristal
pouvait être élaboré..
les témoins de ces étonnantes
révélations avaient donné un nom -bien impropre d’ailleurs,
mais aucun autre n’en avait été révélé-
à cette ‘gelée très consistance mais inerte pouvant
servir à tout’ : le neutrino.. par lequel la pensée pouvait
devenir créatrice de matière ( !).
notre amie avait précisé
: «pour être utilisable, ce ‘cristal’ devait être enfermé
dans des ‘boîtes en métal blanc’, volumes à plusieurs
faces se composant de ‘70% d’aluminium, de 3% d’argent pur et le reste
un alliage dont je ne comprend pas la composition car y entrait ‘des éléments
n’appartenant plus à une dénomination actuelle » -
« une seule des face de ces
boîtes était constituée par cet alliage, mais dans
lequel entrait en plus un complément de 0.05% de cuivre natif !
»
« les volumes de ces boîtes
n’étaient pas tous semblables. c’était fonction de l’utilisation
du ’neutrino’ qu’elles contenaient.. » - « elles avaient toutes
la même dimension : ‘elles pouvaient être contenues dans un
cube théorique de 80 cm. d’arête » - «
ainsi logé, le ‘neutrino’ dégageait une ‘lueur’ -sorte de
‘halo’- d’une teinte bleu cobalt ! ce ‘cristal’ devenait alors actif et
pouvait alors être utilisé !.. »
ainsi qu’elle l’a décrit
abondammant, cette matière extraordinaire avait de multiples usages
: « ceux ‘visionnés’ le long du fil du temps étaient
‘activés’ par la force (ou l’énergie) mentale des hommes
et par les ‘vibrations cosmiques et les forces telluriques’... »
« il en existait partout et
dont l’apparence en était différente. ils n’étaient
pas tous enfermés dans des boîtes »
« ceux, dont il reste encore
quelques exemplaires actuellement encore disséminés à
travers le monde, ne sont pas contenus dans des boîtes métalliques
: ils se présentent sous la forme d’un gros cristal bleuté,
dur à l’extérieur mais d’une consistance ‘plus molle’ à
l’intérieur.. comme si la boîte avait été remplacée
par une ‘enveloppe minérale durcie’. ils étaient plus petits..
je ne sais pas à quoi ils pouvaient et pourraient encore maintenant
servir » -
« certains peuvent être
retrouvés par hasard. en ce moment même ils ont toujours le
même aspect.. mais entre nos mains qu’en ferions-nous ? »
il semblerait que ces hommes nous
ayant précédé dans un autre temps, avaient à
leur disposition une énergie domestiquée, comme si, maintenant,
l’électricité ou le magnétisme que nous connaissons
et utilisons en permanence, pouvait se trouver aussi autrement que diffuse,
mais que nous ayions trouvé la possibilité de les condenser
dans une matière-support -un peu à la façon des piles
et batteries- et que ce fluide obéirait à notre volonté
psychique et agir à notre gré, suivant nos besoins.
c’est la seule comparaison que nous
ayons trouvée , car de par nos connaissances actuelles, insuffisantes
dans ce domaine, nous ne pouvons imaginer comment utiliser notre propre
énergie humaine et les fréquences vibratoires de notre mental
à travers un support neutre, condenseur et amplificateur synergétique
pouvant produire un effet matériel et physique environnant... c’est
de la fiction pure.. mais nous n’avons pas tout redécouvert des
‘forces de la nature’ encore inconnues et sans doute potentiellement présente
autour de nous.. dans cet ether bien mal connu...
mathématiques insolites...
il est aussi étonnant de
constater avec quelles facilités un praticien de la psychométrie
peut réunir d’éléments inconnus lors qu’il pénètre
dans l’époque où il se trouve projeté, et telle une
caméra, visionner sur l’écran de son infraconscient tout
ce qui se trouve à sa portée !
par quels procédés
ou quel moyens peut-il faire comprendre des notions abstraites et, sans
toujours pouvoir les traduire avec les données du langage humain
lui étant familières , mais seulement en transmettre la phonétique
ainsi que les paramètres aberrants pour notre compréhension..
force nous est alors d’admettre
que -peut-être- une certaine mémoire génétique
‘imprégnée’ dans des objets, des pierres (la fameuse mémoire
des pierres), peut nous apporter des éléments de connaissances,
effacés aux sens habituels humains au fil des siècles ou
des millénaires, à condition de posséder la faculté
d’entrer en contact, exactement comme nous choisissons une certaine
fréquence pour obtenir sur nos appareils t.v. des images sur l’écran-moniteur
et le son sur les haut-parleurs. (mais cela ne s’appelle plus la ‘télé’
mais la psychométrie)
mais si j’ai bonne mémoire
scolaire j’ai appris une fois qu’un homme aurait dit : « objets inanimés
avez-vous donc une âme ? »
c’est toujours ainsi, par ce dernier
procédé que nous savons maintenant, que du temps d’akalal,
cette bourgade où barbara, avait été transportée
dans le temps, les hommes de cette époque utilisaient des systèmes
de calculs nous paraissant totalement aberrants !
les bases de calculs, de mathématiques
dirions-nous, nous ont été communiqué phonétiquement,
telles qu’elle les ‘entendaient’. apparemment les notions géométriques
étaient prépondérantes, car concrètement plus
utiles pour les réalisations de leurs travaux..
les trois éléments
de ‘proportions’ (tout paraissant ne reposer que sur des fonctions proportionnelles)
ont été verbalement transcrites : le ‘dinos’, l’ ‘onis’ et
le ‘kanios’.. « le dinos avait pour base 3, l’onis la base
4 et le kanios la base 1 » et elle continua à dicter : «
les proportions initiales étaient les suivantes : un rapport constant
de 5/10 dinos, de 10/5 onis et de ¼ kanios. » - « comprenne
qui peut, c’est tout ce que je puis dire » ajouta barbara.
pour un mathématicien, ce
que notre amie a perçu comme terme ‘base’ , peut très bien
être défini par un autre terme mathématique plus approprié.
mais pour un chercheur éclairé,
un mathématicien averti, trouvera certainement matière à
réflexion et qui sait, une ouverture nouvelle sur un système
essentiel simplifié aidant à la compréhension des
mystères des proportions, des énigmes posées par les
constructions érigées ça et là sur notre globe
par des ‘architectes inconnus d’un autre âge’
barbara a bien spécifié
et
insisté sur cette information, reçue comme toutes les autres
sur son ‘canal superconscient’ : « il est important que vous sachiez
que beaucoup de pyramides, en particulier aussi celles d’egypte,
plus spécialement celles du plateau de giseh, et le sphynx,
ont été érigées sur les emplacements d’autre
‘constructions’ existant déjà depuis plusieurs millénaires
auparavant aux mêmes endroits.. j’insiste là dessus,
j’ai la nette impression que ‘l’on désire clairement me faire savoir
que ceci soit connu, car pour ‘eux’ c’est d’une importance capitale »
ce sont les paroles de notre amie enregistrées sur la cassette,
reproduite ici in-extenso !
pas de commentaires : quoi ajouter
? les pyramides seraient donc des ‘monuments’ dont les hommes ont
toujours eu besoin depuis la nuit des temps : vecteurs de connaissances,
centrales d’energies dont nos générations présentes
ont ‘oublié’ ou perdu les fonctions essentielles.. et peut-être
indispensables à la maîtrise de certaines forces de l’unvers
et de la terre elle-même...
calculer, mesurer a toujours été
indispensable à l’homme.. quelque soit son degré d’évolution,
sa culture, il lui a fallu utiliser les chiffres, les nombres, tout au
moins nous le supposons !
il semblerait, à la lumière
de ce qui nous a été révélé que le mode
de calcul fractionnel ait été la première utilisation
mathématique et que cette base ait été très
longtemps utilisée. tout devait reposer sur des fonctions de fraction.
avec une fraction point n’est besoin de complication : un quelconque étalon
peut être additionné, multiplié ou divisé en
utilisant par exemple, pour la construction, que ce pourquoi ces
connaissances primaires étaient utiles aux bâtisseurs; ils
n’avaient alors besoin que d’un simple morceau de ficelle ! compte
tenu de leur sens de l’observation et des contingences de la nature ils
restaient dans une simplicité étonnante.. à nous qui
cherchons tout au contraire à compliquer ce doit rester simple..
voilà pourquoi ces systèmes de calculs nous semblent aberrants
.
dans ce système fractionnel
il y a une logique fondamentale, basée tout simplement sur des unités
de mesures qui nous semblent ne pas avoir de rapports entr’elles mais orientées
sur l’observation logique des rapports espace-temps , reportées
en étalons de longueurs, dont se servaient ces hommes pour bâtir
en respectant une ‘harmonie’ de proportions volumétriques
l’observation des apparitions cyclique
de certains astres, sirius par exemple. de leurs rapports dans le temps,
combinés avec d’autres manifestations solaires, lunaires et des
constellations que nos modernes astrologues ont nommé les signes
du zodiaque, ont toutes été à la base d’étalons-mesures..
le regretté albert slosman,
dans ses trois ouvrages parus dans la collection ‘les portes de l’etrange’
des editions laffont, ‘le grand cataclysme’(1976), ‘les survivants de l’atlantide’
(1978) et ‘dieu ressussita à dendérah’ (1980), grâce
à une analyse que seul un génie des mathématiques
doublé d’un linguiste étonnant possédant toute la
science des hiéroglyphes, de l’écriture démotique
de l’ancienne egypte, décrit toute la relation extraordinaire des
‘combinaisons mathématiques divines'.
nos mathématiques ont dévié
de ces concepts et il nous est très difficile de faire un retour
en arrière. a la limite un cerveau non encombré de nos systèmes
acquis sur les bancs de nos écoles, aurait certainement autant de
chance de retrouver cette clé perdue.. que le génial mathématicien
qui serait obligé d’oublier volontairement toutes les règles,
les théorèmes et les lois que des années d’études
ont emmagasiné dans sa mémoire.. et attaquer avec l’humilité
du simple une nouvelle étude puisée à l’origine du
savoir de l’homme !
au-delà de quarante mille
ans, nous retrouvons le médium, pierre guilder !
lorsque nous avons transcrit
quelques pages en arrière, les informations communiquées
sur les immenses champs cultivés autour d’akalal, nous avons négligé
volontairement la description d’une « ’technique’ permettant aux
récoltes d’avoir cet aspect monstrueux. »
il avait été question
d’épis de blé gros comme des épis de maïs, ce
qui est proprement impensable mais, qui en utilisant une ‘technologie’
mettant en jeu des ‘amplificateurs d’0nde de formes, devient plausible.
certains chercheurs, sont parvenus,
plus modestement il est vrai, à des résultats étonnants
en redécouvrant des méthodes similaires après de longs
tâtonnements : ils ont mis au point des ‘générateurs
d’orgone’ dont les descriptions ont été fournies par wilhem
reich, (célébre par ses travaux sur les ondes de formes,
poursuivi par les nazis et récupéré par les américains)
le fonctionnement est encore mal maîtrisé, car pour cette
‘énergie’ farouchement niée par la science officielle, il
n’a pas encore été inventé d’appareil de mesure..
mais dont les résultats d’expériences sont pourtant
reproductibles
sur les champs d’akalal, des hommes
avaient implantés des ‘volumes pyramidaux très allongés’
que notre psychomètre décrivait comme de ‘grandes épines
de pierre’ rappelant de par leurs formes les obélisques que nous
connaissons. (au fait, mais à quoi pouvaient donc bien servir au
égyptiens ces ‘monolithes savamment travaillés’ ?)
barbara avait ensuite dicté
: « ces ‘épines’ avaient généralement quatre
faces et leur hauteur était de douze fois la longueur d’un côté
de la base. le rapport était donc de 12/1 ; ils servaient à
‘activer’ et à ‘accélérer’ la germinaison et la croissance
des récoltes, entr’autres et leurs dimensions variaient ‘avec les
mêmes proportions 12/1’ ce en fonction du résultat que l’on
attendait » -« leurs bases étaient creuses et recélait
chacune une de ces fameuses ‘boites contenant le ‘neutrino’ dont j’ai parlé
tout à l’heure »
pour mieux comprendre par la suite,
car ces révélations sur akalal par notre amie barbara
étaient bien antérieures (en 1981) avec notre entrée
en possession en 1983/1984, des ‘travaux médiumniques’ de
pierre guilder, nous avons détaillé le codex de pierre guilder
auquel nous avions donné le no.10
la seule différence entre
la ‘planche’ de guilder et la description des ‘épines’ réside
dans les proportions. nous ne pensons pas qu’il faille s’arrêter
à ce détail.
il est vraisemblable que les emplacements
de ces ‘épines’ n’étaient pas déterminées par
le seul hasard, tout comme les surfaces et les emplacements n’étaient
pas choisies n’importe comment. outre que la qualité du sol jouait
un rôle, mais les implantations de ces ‘volumes’ particuliers sur
des points précis devaient sans doute aussi correspondre à
des points d’émergence de courants telluriques -le géon-
intersections ou points d’acupuncture terrestre qui, n’agissant pas
vers le bas, se trouvaient ainsi ‘activés’ pour rayonner verticalement
et en faisceaux tout alentour.
le cristal, enfermé dans
le socle, dans un volume à facettes agissant comme un ‘capteur récepteur
amplificateur’ de l’énergie tellurique, l’ ‘épine’ jouait
alors le rôle d’émetteur antenne !
la planche et la partie de l’ ‘epine’
sont détaillées page suivante :
pierre guilder
détail de la planche no. 10
l’epi
un détail : pour bien comprendre
la représentation exacte ayant été ‘transmise’ à
pierre guilder, comme d’ailleurs pour la plupart des ‘planches’, il a souvent
expliqué qu’il ne savait les représenter comme il les ‘voyait’
en trois dimensions : « c’était comme des dessins en volume
qui se dessinaient devant mes yeux et je ne pouvais les reproduire que
sur une feuille de papier plane ! » c’est pourquoi cette épine,
qui dans le volume se dressait pointe en l’air devant les yeux de guilder,
a été extraite du dessin plat, mais positionnée pointe
en l’air !
en février 1981, nous ne
connaissions pas encore l’existence de pierre guilder et, bien évidemment,
en aucune façon barbara n’aurait pu être ‘influencée’
par une quelconque allusion de l’un d’entre nous aux ‘documents’ de ce
médium que nous n’avons rencontré que deux ans plus tard
.
il est hors de doute que les hommes
contemporains d’une telle civilisation, possédant cette technologie,
connaissaient certainement -grâce à des méthodes qu’il
serait vain de vouloir comparer aux nôtres- toutes les fréquences
vibratoires devant être accordées, pour ‘produire une certaine
harmonique’, afin d’obtenir ce résultat : celles des diverses émissions
courants telluriques, (voir à ce sujet nos travaux de recherches
sur les mégalithes: le mystère et le secret des pierres),
celles de ce fameux cristal (le neutrino) enfermé dans sa boîte
(un volume à certaines proportions) de la partie constituant des
épines, dont nous donnerons davantage de détails plus avant-
et sans oublier les propriétés énergétiques
des céréales, ou autres végétaux, à
activer, depuis les semences jusqu’aux grains, fruits ou tubercules à
mener à maturité, bref tout un cycle à considérer
de bout en bout.
d’après barbara, ils ne disposaient
d’aucun appareils de mesures : elle a été formelle sur ce
point, précisant même « que c’étaient les habitants
eux-mêmes qui choisissaient les terres à cultiver, qui ‘fabriquaient
le neutrino’ érigeaient les aiguilles de pierre reconstituées
après les avoir ’moulées’ et façonnées. ils
disposaient d’une sorte de ‘connaissance mentale’ grâce à
leurs dispositions bio-physiologiques dont ils étaient tout naturellement
dotés à cette époque » elle ajouta : «
ils avaient le pouvoir de ‘sentir’, exactement tout comme certains
‘sens’ ou facultés sont développés chez les animaux,
facultés qui nous étonnent et dont nous cherchons à
percer les secrets, mais dont nous sommes incapables d’en reproduire les
effets par n’importe quelle technique !
après avoir écouté
(et réécouté des dizaines de fois) les enregistrements
des descriptions de barbara sur nos très lointains ascendants d’
il y a environ 40.000 ans, nous allons d’étonnements en surprises
au fur et à mesure des transcriptions sur le papier de ces ‘révélations
‘! !
ces bien curieux ancêtres
n’ont pas fini de nous étonner !
le travail de la pierre :
nous avons hésité
longtemps (nous sommes maintenant en 2001 !) avant de porter cet extraordinaire
‘message’ du passé à la connaissance des amis ‘chercheurs
de l’impossible’. mais, puisque nous avons entrepris ce travail de compilation..
poursuivons.. (sans état d’âme) ce qui est commencé.
les habitants de ce village (comme
d’ailleurs tous leurs contemporains de cette civilisation ayant évolué
dans cette ère humaine dont nous ne savons plus rien) faisaient
tout.. exactement comme ces étonnants hyménoptères,
vivant en société organisée, produisant du miel
et dont les ruches avaient ‘droit de cité’ aux portes de leurs habitations
(car barbara a été formelle aussi à ce sujet : les
abeilles étaient à cette époque rigoureusement semblables
à celle que nous connaissons maintenant). ces hommes n’utilisaient
pratiquement pas d’outillage : « les ‘energies’ qu’ils puisaient
en eux-même, que transformaient à volonté les ‘cristaux’
qu’il élaboraient suivant leurs besoins, suffisaient à exécuter
tous les travaux.. sans dépenses physiques excessives ! ».
comme dans toute société
organisée, et celle-ci paraissait l’être assez harmonieusement,
il fallait bien construire, utiliser la pierre, la roche et tous les matériaux
nécessaire à cet art.
les falaises à proximité
aux alentours contenaient ce qui était indispensable.. mais, «
les habitants d’akalal ne possédaient pas d’outillage.. tout au
moins tel que nous concevons ce terme actuellement » le message enregistré
le précise bien !
l’on est en droit de se poser une
question : comment extraire de la pierre, de la roche ? comment la dégrossir
et la tailler pour l’ajuster ensuite suivant ce à quoi on
la destine ? sans outils, c’est impensable, aucun être humain
n’en serait capable ! les plus apparentes des pierres extraites à
la main.. tout au plus les placer l’une sur l’autre, à condition
que ces cailloux ne soient pas trop volumineux ni trop lourds pour pouvoir
être manipulés sans effort physique excessif.
alors comment ? comparés
à nous, placés devant une telle nécessité nous
serions désarmés. devant un tel ouvrage.. mais ces hommes
étaient ce que nous pourrions définir comme des ‘génies’.
le plus élémentaire des dictionnaires donne comme définition
du terme génie : « tous les êtres fantastiques tels
que fées, gnomes, lutins (cela sent la légende à plein
nez !) et ensuite : « talent particulier pour une chose, aptitude
‘extraordinaire’ de création.. » mais qu’est-ce donc
« une aptitude extraordinaire de création ? »
sinon des dispositions, généralement
mentales et psychiques se traduisant par des actes physiques.. que ne possèdent
pas en général les individus, : le commun des mortels, il
va de soi contemporains, puisque ces définitions s’adressent
à l’humanité contemporaine.
généralement nous
entendons par génies des hommes (ou femmes) souvent des artistes
lesquels, tel mozart par exemple, à l’âge où leurs
camarades jouent aux billes, font les délices des salons en déployant
des talents que l’on découvre habituellement chez des adultes particulièrement
doués, ayant fourni durant plusieurs années, un effort exceptionnel
pour parvenir au sommet de leur art, et que ce soit dans toute matière
(musique, peinture, mathématiques, etc..).
il n’entre pas dans nos propos de
faire un exposé sur des talents exceptionnels, maintes fois décrits
depuis longtemps, mais pour simplement dire que ces individus d’exception
ont en eux ‘une petite lucarne’ de leur superconscient, infraconscient
(ou toute autre définition que l’on voudra bien donner à
cette étrange disposition) leur donnant inconsciemment accès
à des ‘facultés extraordinaires’, cette petite fenêtre
permettant une pénétration incontrôlable dans un plan
spatio-temporel, ouvrant un très large éventail de connaissances,
-science infuse’ dirions nous, tout à leur disposition..
ceci exposé et pour revenir
à nos ‘merveilleux habitants d’akalal’ qui avaient à leur
disposition de façon toute naturelle ce ‘pouvoir génial’.
qu’il nous est aussi difficile d’imaginer (et d’admettre) que celui des
‘bonnes fées’ de nos légendes enfantines’.
barbara nous a bien spécifié
« que ce fabuleux cristal était un support, plus exactement
un condenseur synergétique à tout faire.. grâce
à ce ‘cristal’.. « les habitants d’akalal faisaient ‘ fondre
la roche’ et en tiraient une sorte d’argile ou de glaise, sans que la composition
originelle de la roche en soit changée, à laquelle il suffisait
de donner la forme et l’aspect souhaité et, toujours à l’aide
de ce même cristal, mais utilisé d’une autre façon,
assurait le transport à toute distance et l’homme effectuait la
mise en place définitive par ajustement précis. par un procédé
de ‘lévitation’, l’action de la pesanteur avait ainsi été
neutralisée !.
la masse rocheuse ayant repris
entre-temps son aspect solide originel, pouvait être ainsi ‘manipulée
sans aucun effort physique’ »
evidemment tout ceci semble sorti
tout droit d’un roman de science fiction acheté sur un quai de gare..
mais jusqu’à présent personne n’a pu expliquer de façon
rationnelle comment toutes les gigantesques pierres de plusieurs dizaines
de tonnes, parfois aussi de centaines de tonnes, ont été
transportées et sont encore assemblées les unes sur les autres,
sans que l’un puisse glisser entre elles le moindre objet de l’épaisseur
d’une feuille de papier à cigarettes.. les lieux ne manquent pas
à travers le monde où tout un chacun peut venir les contempler
et rester songeur devant le prodige. tous ces haut-lieux du mystère
sont connus, au pérou, en egypte, sur certaines îles du pacifique,
en europe du nord etc... oui mais que conclure ? cela reste une énigme
.. malgré toutes les hypothèses formulées par beaucoup
et certaines sommités restent très prudentes quant à
leur conclusions.. face au ‘dogmatisme rationnel’ dont font preuve les
irréductibles gardiens des ecoles du savoir !
encore une fois l’on fait appel
aux planches de guilder, en voici une ‘le vade-mecum du bâtisseur’
sur cette illustration, nous avons
toute la technologie des bâtisseurs...lesquels et de quelle epoque
?
un peu comme s'il existai
actuellement un poster distribué dans les écoles du bâtiment
destiné aux élèves. il est clairement montré
ci-dessous le procédé permettant la fusion de la roche 1,
pour la modeler 2 et la former, la transporter 3 et la lever.. quelque
soit son poids ou son volume .. cela sans aucun effort musculaire.
nous avons peut-être là,
la clé du mystère de pierres gigantesque formant des
ensembles cyclopéens {t}elles les pierres de baalbeck, les pyramides,
les murs de cuzco, etc..(mais qui donc étaient ces étranges
créatures- de légende- les cyclopes,?)
et en haut la présence du
cristal et tout le reste ! il y a matière à
travail pour la matière grise!
a k a l a l est actuellement
sous nos pieds !
nous avons un début de preuves
formelles que la région d’akalal n’a pas été un récit
merveilleux, né d’un esprit inventif et rêveur.. ces deux
séances de psychométrie ont été effectuées
avec le plus grande sérieux. nous sommes des chercheurs pragmatiques,
doués de raison nous ne perdrions pas notre temps avec des fadaises
!
pourtant, de soi-disant ‘contactés’,
recevant de mystérieux messages venus d’ailleurs nous approchent
et nous soumettent des quantités de pages d’écritures et
de dessins ou de tableaux qui, d’après eux ont été
tracés sous une impulsion médiumnique.. nous ne rejetons
rien systématiquement, mais nous laissons tous les rêveurs,
poètes de l’au-delà plus ou moins illuminés à
leurs amusements et ne conservons que ceux nous semblant mériter
un examen approfondi et très sérieux et soumettant leurs
auteurs à des tests ayant vite fait de décourager les farfelus..
il n’en reste que très peu : leur nombre est infime ! en dix ans
nous n’en avons trouvé qu’un seul : pierre guilder.
la psychométrie fait de ce
que nous considérons comme une science exacte et les véritables
médiums comme des ‘messagers’ d’un ailleurs, pouvant aider dans
leurs recherches -cela s’est vérifié à de nombreuses
reprises- certains scientifiques à l’esprit ouvert et acceptant
de vérifier et de contrôler la véracité des
messages.
la deuxième et dernière
séance avec barbara date du 21 février 1981, nous revenons
sur cette date car elle a son importance dans la chronologie des faits
ayant apporté des preuves matérielles. durant cette séance,
barbara avait localisé avec précision sur une carte les points
et les profondeurs où se situent des restes -selon elle, parfaitement
conservés- de la civilisation contemporaine d’akalal, dont nous
allons décrire certains un peu plus loin.
en novembre 1981, un article de
quatre lignes paru dans ‘nice-matin’ et qui informait les lecteurs que
des photos radar prises par la navette spatiale américaine de la
nasa, ‘columbia’ , révélait sur des surfaces sèches
(les déserts en particulier) à quelques mètres sous
les sables des images mettant en évidence des contours rocheux
et des vallées enfouies, inconnus auparavant et des structures géologiques,
des traces de constructions et de travaux et de lits de rivières
datant de temps anciens.
il était cité qu’un
certain john mac cauley, dirigeant une équipe de chercheurs américains,
était surpris de ces révélations photographiques.
après quelques rapides recherches
pour retrouver la source de cette information, le centre de la nasa à
houston (texas) a été contacté en leur communiquant
les latitudes et longitudes encadrant largement l’ emplacement du site
d’akala et leur demandant si la navette avait pris des clichés de
ces positions précises. cinq jours plus tard deux photos nous parvenaient,
une en couleurs et l’autre en noir.. confirmant ce que barabara nous avait
décrit ! !
akalal s’était bien trouvé
dans cette partie du désert au sud-ouest de l’egypte, près
de la lybie, entre le 24° et 32° est et le 20° et 28° nord.
la cité d’akalal, est elle-même
exactement située sur le tropique du cancer (23°30’n)
cette zone est pratiquement inaccessible
par des moyens de locomotion classiques et seule, la mise en place d’une
logistique conséquente et adaptée au terrain.. et au manque
total de points d’eau, pourrait éventuellement permettre d’aller
sur le site.. mais dans quelles conditions ?. une mise en chantier de plusieurs
mois est impensable..
comment creuser une couche de sable
de plusieurs dizaines de mètres de profondeur.. sans oublier
l’aspect politique, car ce site est sur une zone d’un territoire à
la limite de l’egypte et de la lybie à l’ouest et au sud près
de la frontière du soudan !
en page suivante, un peu de documentation...
chron ologie
décembre
1981 - 1° séance de psychométrie
21 février
1981 - 2° séance de psychométrie
25 juillet
1982 - 1° rencontre avec guilder
28 novembre
82 - article
nice-matin
27 février
1983 - réception photos-radar nasa
le sanctuaire..
sous quelques dizaines de mètres
de sable, enfouie dans ce gigantesque écrin, attend une grotte extraordinaire
dont la découverte -le jour où elle aura lieu- remettra en
cause de nombreuses données de la préhistoire des hommes
et causera un séisme dans la gnose orthodoxe des écoles traditionnelles..
du temps où cette région
n’était pas encore ensablée, entretenue et soigneusement
irriguée par les pluies tombant durant une saison de trois mois
de l’année, par un système mis en œuvre par les hommes, les
eaux des nappes phréatiques peu profonds prenaient le relais, au
milieu d’une végétation luxuriante, se dressait un bâtiment
assez curieux lequel, si nous pouvions le voir désensablé
vu de l’extérieur , apparaîtrait à nos yeux un peu
comme une de nos modernes piscines.
cette construction est en pierres
de roches ‘reconstituées’, dont le toit en forme de dôme,
également édifié avec la même technique, constitué
du même matériau d’une résistance incroyable, semblant
avoir été construite par des hommes ayant peut-être
eu la connaissance des multiples changements géologiques futurs
de la planète conséquences des profondes modifications climatiques
à survenir dans les prochains millénaires succédant
à leur civilisation. voulant peut-être laisser ainsi aux générations
à venir un témoignage de leur présence et de leurs
connaissances des choses de leur passé.. et de l’histoire de la
terre.
en effet, des millénaires
de sécheresse, de vents ont progressivement transformé ces
zones en un désert aride lequel, tel un linceul de sables recouvre
maintenant toute cette région dont, depuis, l’on ne s’est jamais
préoccupé...
toutes les merveilles de la vallée
du nil, de ses multiples temples et vestiges des cité pharaoniques,
de la vallée de rois retiennent depuis presque deux siècles
les armées de chercheurs de tous pays, succédant aux hordes
de pillards qui, ne trouvant qu’un désert de sables s’étendant
à perte du vue vers l’ouest, sans que rien en surface ne puisse
laisser soupçonner la moindre trace de l’histoire des hommes, personne
ne se fatigue à creuser un sol aride et ne cherche à y retrouver
quoique ce soit ! quelques légendes de montagnes d’où provenaient
en quantité énormes l’or ayant permis aux pharaons d’accumuler
les richesses constituées de milliers d’objets de ce métal
contenus dans les tombeaux, se transmettaient de bouche à oreille
parmi les peuplades du désert
survenu il y a environ 12.000
ans, un grand cataclysme aurait provoqué la disparition des iles
de l’atlantide et, peut-être aussi, datant de cette époque,
le déluge dont tous les livres sacrés et les légendes
nous content les ravages, et que, précédant ces bouleversements
à une période encore antérieure à la suite
de l’on ne sait quel fantastique phénomène, se produisit
un basculement des pôles, là où ils se situent actuellement
avec, entr’autres conséquences, le détournement des cours
de certains fleuves, tel le nil qui, avant, coulait d’est en ouest,
les terres irriguées sont devenues incultes et tel le sael actuellement,
ont cédé plus ou moins rapidement la place aux sables
du désert..
seules, certaines constructions
conçues par des hommes disposant d’une ‘science’ leur ayant permis
de connaître à l’avance le sort de notre planète, auraient
pu mettre à l’abri dans certains édifices (tels le sphinx
et les pyramides) capables de résister aux changement climatiques,
des sortes de ‘capsules du temps’ contenant les témoignages et les
preuves de l’existence de leur civilisation et de celles des temps lointains
dont nous ne soupçonnons même pas l’existence passée..
ces traces des hommes du passé
attendant que les descendants de leur très lointain futur
soient capables de les exhumer et d’en faire profiter leurs contemporains..
si toutefois ceux-ci disposent de la sagesse et de l’humilité suffisantes
pour savoir utiliser ces révélations au profit de l’humanité...
les manuels scolaires ‘officiels’
décrivent nos très lointains ancêtres autrement : ils
ne savaient que cogner des morceaux de silex pour allumer du feu
et le tailler pour en faire des armes et des outils, faisaient aussi
parfois des dessins dans des grottes.. courant simiesques, échevelés
et hirsutes avec au poing des gourdins derrière du gibier... enfin,
c’est ce que l’on nous apprend à l’école.. mais..
ne s’agirait-il peut-être
plutôt de descendants de survivants à d’épouvantables
cataclysmes dont nous avons aussi perdu le souvenir, lesquels, ayant passé
plusieurs siècles d’ignorance et de misères physiques étaient
retombés dans la sauvagerie ?
si une catastrophe planétaire
se produisait maintenant, ne laissant qu’une centaine de milliers d’individus
survivants, livrés entièrement à eux-mêmes,
éparpillés sur la surface du globe.. privés de toute
technologie, armés de leurs seules mains pour survivre et nantis
de leurs seules jambes pour se déplacer, comment les retrouverait-on
deux cents ans plus tard ?
sans doute aussi hirsutes et abêtis
que nos soi-disant ancêtres de l’âge de pierre ! rien que cette
‘image’ devrait nous faire comprendre, avec une très forte dose
d’humilité, que la réflexion sur les ‘inconnues’ du lointain
passé, aide beaucoup plus la recherche que la sotte suffisance du
savoir actuel de l’humanité ! !
regarder, essayer de comprendre..
mais ne pas toucher !
barbara a révélé
davantage de précisions concernant ces ‘sanctuaires du passé’
:
« a l’intérieur de
ce qui est devenu une grotte artificielle extraordinaire, se trouvent des
trésors fabuleux mais qui, tout en représentant une valeur
intrinsèque colossale, en offre une bien plus grande encore pour
la connaissance de l’humanité » .. « attention
! que les hommes prennent garde de ne pas profaner ce sanctuaire..
qui n’est pas unique ! il y en a d’autres ailleurs dans ce pays.. »
elle insista : « oui.. il faut faire attention à ne rien profaner
et surtout aborder toute recherche avec le plus profond respect pour ces
‘choses’ admirables » il y eut un long silence.
barbara contemplait son ‘écran’ et restait, avec sur le visage,
une expression de profonde stupéfaction devant ce qu’elle ‘voyait
!
ce n’est qu’après de longues
minutes qu’elle se remit à parler : « tout d’abord un grand
bassin empli d’une eau incroyablement pure !.. tout autour de ce bassin
un accès. une large margelle faisant le tour. sur cette margelle,
quatre statues ! oh ! mais quelles statues ! des chérubins
ailés en or massif, semblables à ceux que l’on représente
aux angles de l’arche d’alliance.. mais bien plus grands » .. «
en retrait, le long des murs latéraux il y a aussi d’autres statues
de formes humaines, de morphologie totalement différente.. n’existant
pas ou n’existant plus sur terre déjà à cette époque.
une race probablement disparue ou bien n’ayant fait qu’une apparition ponctuelle
ou temporaire, ayant certainement apporté quelque chose de remarquable
aux indigènes ayant précédé de plusieurs dizaines,
voire plusieurs centaines de siècles, la civilisation des contemporains
des hommes d’akalal, »
« cette représentation
statuaire est celle d’une tradition perpétuée à travers
les âges et placée dans ce ‘sanctuaire’. c’est une figuration
‘votive’ honorant des ‘initiateurs’ ayant apporté la connaissance
originelle ! »
«ce sont des ‘êtres’
que l’on pourrait faire ressembler aux olméques, en plus grand,
en plus ‘ovale’ et en plus ‘fin’( ?) avec de grosses lèvres, le
teint blanc, des yeux très globuleux, le squelette était
presque inexistant : ils n’étaient morphologiquement pas semblables
à l’homme.. »
« dans le fond de ce ‘bassin’,
de cette ‘grotte’, enfin de ce sanctuaire, repose un très gros cristal.
toujours ce même cristal bleuté.. il est posé sur un
socle. ce cristal est toujours ‘actif’.. même maintenant.. et placé
là il a son importance et sa raison d’être !.. »
« a la limite, nous sommes
dans un lieu sacré » barbara ajouta : «
j’insiste.. mais c’est très important ; je dois simplement dire
: regarder, essayer de comprendre.. mais ne pas toucher.. »
l’un d’entre nous posa une question
: « ce fameux cristal ne sera jamais accessible ? »
barbara resta silencieuse, elle
devait mentalement ‘poser’ cette question, un moment plus tard elle reprit
: « c’est une raison très évidente.. l’on ferait les
apprentis sorciers avec ça. il est là pour être
un jour retrouvé par des gens.. plus tard.. ou alors ?.. il serait
très dangereux de faire joujou avec ce ‘truc-là’ parce que
nous ne sommes plus les mêmes qu’à cette époque là..
donc on ne pourrait pas le réutiliser.. l’utilisation des forces
à cette époque n’était pas négative au sens
où on l’entend aujourd’hui.. mais elle était nécessaire..
c’est le mixage entre les forces négatives et positives.. car à
cette époque la notion du négatif existait déjà..
mais personne n’aurait songé à utiliser les forces négatives
pour faire du mal.. mais la combinaison des deux forces est nécessaire
pour activer le cristal.. si tu prends des gens comme toi ou moi .. de
notre époque, comment veux-tu que l’on apprenne à s’en servir
correctement et encore l’on est pas sûr de ne pas faire de bêtises
avec. »
« c’est un peu comme si tu
mettais des réserves de bombes à neutrons dans les mains
de gens qui ne savent pas ce que c’est.. c’est pareil ! »
« oh : attends il m’apparaît
une chose maintenant.. c’est que pour l’instant le site d’akalal n’est
pas surveillé parce que personne n’y va et n’y est allé,
personne ne soupçonne son existence sous les sables du désert,
mais si quelqu’un commençait à y mettre le bout du nez..
j’ai peur qu’alors tout se ligue et soit tellement devenu difficile..
et je vois un tas de signes qui nous en empêcherait alors.
si l’on avait suffisamment
d’argent, l’on devrait y aller, sans moyens si tu veux.. techniques, juste
pour aller sur place ‘sentir’ avant de faire quoique ce soit et l’on aurait
même la faculté dans ce premier temps de faire des découvertes
tout à fait étonnantes.. » oh ! j’arrête
maintenant je ne vois plus rien.. tout s’est effacé.. c’e n’est
pas la peine de continuer aujourd’hui... »
cette dernière transcription
de la deuxième séance de psychométrie est citée
ici ‘in-extenso’ telle qu’elle est enregistrée sur la bande magnétique
de la dernière cassette...
auparavant, avant d’en arriver au
bout de cette séance, barbara avait encore dicté d’autres
informations sur les traces pouvant être retrouvées de ce
pays d’akalal : « mise à part cette ‘caverne du temps’ il
existe encore de nombreuses traces de l’existence de ces civilisations.
au nord-est de ce sanctuaire à environ 240 km à vol d’oiseau,
se trouve un massif rocheux au flanc duquel il y a une entrée. depuis
tout ce temps passé, des bouleversements géologiques ont
provoqué des éboulements, mais en dégageant se trouvent
les restes d’une ancienne cité semblable à akalal... »
« ensuite, plus près
du sanctuaire, à 80 km au nord-ouest une petite caverne, sur un
massif, une petite caverne.. je la vois obstruée par un rocher (ou
un petit amas de roches) recèle un cristal similaire à celui
encore enfoui dans le ‘sanctuaire’ mais inactivé, ‘mort’ et ne pouvant
plus servir.. je vois l’accès en est très facile »
« un autre de ces cristaux
également inactivé peut-être découvert à
100 km au sud, exactement à l’aplomb du point précédent..
près d’un pic rocheux, à quelques centaines de mètres
des restes enfouis d’une autre petite cité.. »
« il y a encore bien d’autres choses encore.. plus modestes
et d’autres plus importantes qui ne manqueraient d’exciter l’avidité
des hommes.. hélas ! »
c’est tout : c’est ici que
prend fin ce surprenant voyage dans le temps.. à akalal.
le moyen de locomotion a été
inhabituel, mais un seul voyageur nous a raconté son voyage et nous
avons mis sur le papier une partie de ces six heures de descriptions, de
développements de concepts d’un autre temps.. de dispositions biologiques
et psychiques de ces très lointains ascendants.. sur leurs comportements,
leurs façons de penser et sur ceux qui avaient déjà
été auparavant leurs propres ascendants appartenant à
d’autres civilisations où plongent de vieilles légendes dont
l’on ne connaît plus que quelques bribes.. enfin une suite de récits
à donner le vertige.. dont les preuves viendront par petits morceaux
au fur et à mesure de découvertes..
il reste encore d’innombrables choses
enfouis ou dissimulés, car les haut-lieux de l’humanité restent
bien en place et ne peuvent ni s’effacer ni disparaître du
sol de notre globe...
conclusion...
pour conclure, nous avons repris
ce que déclarait notre amie psychomètre à l’issue
de la première séance ::
« .. akala était comme
de nombreux autres.. des endroits ‘privilégiés’, comme situés
sur des ‘points d’acupuncture’ de la terre.. car, même quand notre
actuelle ‘civilisation’ sera aussi balayée, cela recommencera comme
à cette époque, car les points privilégiés
ont toujours existé et existeront toujours, même si nous sommes
incapables de les percevoir : l’inde , l’egypte, le moyen-orient et d’autres..
sur d’autres continents.. ce sont les points de résurgence du géon
qui, avec le plan cosmique, permettent d’établir un équilibre
harmonieux.. c’est tout ! ! »
«c’est curieux, alors que
certains pays seront complètement dévastés, il y a
d’autres ‘socles’, des plateaux qui datent de l’ère primaire qui
ne bougeront pas.. qui resteront en place.. en dehors des eaux.. jusqu’au
bout ! »
jean anne
pour tout contact e-mail: anne
article mis en page le 19/12/01
par idylle fred .
akalal il y 40000 ans
akalal il y 40000 ans 15 akalal il y 40000 ans 14 akalal il y 40000 ans 13 akalal il y 40000 ans 17 akalal il y 40000 ans 18 akalal il y 40000 ans 19 akalal il y 40000 ans 15 akalal il y 40000 ans 14 akalal il y 40000 ans 13
akalal il y 40000 ans 17 akalal il y 40000 ans 18 akalal il y 40000 ans 19 |