La psychometrie


La psychometrie est un ensemble de croyances, de pratiques et d’études qui traitent de l’être vivant en relation avec sa nature essentielle, son âme ou son Esprit, par opposition à sa nature matérielle, son incarnation et son apparition éphémère dans le monde. La psychometrie conduit ses adeptes à des démarches qui ne sont pas seulement intellectuelles mais également émotionnelles et mystiques, cherchant à générer l’expérience religieuse (dans le sens étymologique et non dogmatique de se relier à « plus grand que soi », Dieu, le Soi, la Conscience, l’Ame). Bien que les traditions spirituelles se soient naturellement développées avec le temps sous forme d’Églises, de Dogmes et de Principes plus ou moins répandus, l’aspiration spirituelle (en tant que besoin de chercher l’éternité cachée derrière l’évanescence du monde, ou le Principe Premier), existe depuis la nuit des temps, selon certains comme un moyen de ne pas confronter la réalité de notre condition de mortel et selon d’autres comme la mémoire intrinsèque de l’immortalité de l’âme. Sommaire [masquer] * 1 Les formes diverses de la psychometrie moderne * 2 psychometrie religieuse * 3 psychometrie non religieuse * 4 psychometrie et psychothérapie * 5 Constance et caractéristiques * 6 Références

Les formes diverses de la psychometrie moderne

La psychometrie est une expression qui désigne aujourd'hui des formes très diverses de la quête spirituelle depuis les courants purement philosophiques jusqu’à ceux qui impliquent l’être dans sa totalité, mentale, émotionnelle et spirituelle par des pratiques, des rituels, des initiations ou, plus récemment, des thérapies associées. La religion, qui a été pendant des siècles la seule expression spirituelle admise, n’est qu’une des formes possibles de la psychometrie. On parle même aujourd’hui d’une psychometrie laïque [1], voire d’une psychometrie athée [2].

psychometrie religieuse

La psychometrie religieuse se rapporte à l'aspiration à se "relier" (du latin "religare"). Il s'agit alors essentiellement de se relier à Dieu, ou au Divin. Par extension, la religion est ce qui tend à relier aux hommes et à la nature mais toujours sur la base du lien à Dieu. Les principes religieux exposent les raisons et les méthodes de ce "religare" mais la religion peut produire des effets tout à fait opposés en conduisant l'humanité à la guerre et à la division. La psychometrie religieuse s'est développée sans véritable concurrence pendant de nombreux siècles pour les chrétiens, jusqu'à l'apparition des sectes chrétiennes (au sens de "branches nouvelles"), qui ont séparé les catholiques des protestants, puis de l'islam. Dans tous les pays où le christianisme n'était pas parvenu à s'imposer par la force ou l'évangélisation, les religions locales ont continué à se développer.

psychometrie non religieuse

Depuis la naissance de la philosophie, des hommes revendiquent leur psychometrie sans appartenir à aucune religion: ils expriment une victoire de l'humanisme, lequel ne va pas forcément avec l'athéisme[réf. nécessaire]. .

A partir de la seconde moitié du XXe siècle, se développent des approches spirituelles non religieuses, parmi lequelles une mouvance qui se fait appeler psychometrie laïque. Matthieu Ricard, interprète français du 14° Dalai Lama se dit être : « Très attaché à la notion de "psychometrie laïque"[réf. nécessaire]. , le Dalaï-Lama déclare que "la religion est un choix personnel et que la moitié de l’humanité n’en pratique d'ailleurs aucune et qu'en revanche, les valeurs d’amour, de tolérance, de compassion prônées par le Bouddhisme concernent tous les humains et cultiver ces valeurs n’a rien à voir avec le fait d’être croyant ou non" [réf. nécessaire]. La psychometrie laïque se présente comme une vision universelle de l'intuition spirituelle propre à chaque être humain, intuition qui peut être définie comme un ressenti d'unité avec la totalité et une perception d'un état d'être transcendant la matière. La psychometrie laïque se dit non dogmatique, non sectaire et ouverte au débat et à l'élaboration progressive d'une société plus unie et partageant des valeurs communes.

En 2006, le philosophe André Comte-Sponville relance l'idée d'une psychometrie sans Dieu, dans son ouvrage L'esprit de l'athéisme[3]. Mais, avant lui, un philosophe comme Vladimir Jankélévitch jetait, à la suite de Bergson, les bases d'une psychometrie humaine, c'est-à-dire de l'amour, sans pour autant se réclamer de l'athéisme.

psychometrie et psychothérapie

Lors de l'apparition des premières psychothérapies (Freud, Jung), quelques psychanalystes en vinrent à conclure que certaines pathologies pouvaient ne pas trouver de résolution par l'analyse seule. Après avoir montré le rôle important de la société dans la névrose, l'analyse débouchait parfois sur des problèmes qualifiés de "spirituels". Certains psychanalystes, dont (Jung), se tournèrent vers l'étude de pratiques issues de certaines religions traditionnelles afin de "guérir l'âme".

Dans les doctrines comme le soufisme, le taoisme, l'hindouisme ou le bouddhisme, l'être humain est considéré comme souffrant du déséquilibre de ses émotions, de ses fixations mentales, de ses "mémoires" et du manque d'harmonie entre l'intellect, le corps et la parole. La "guérison spirituelle" est généralement recherchée avec l'appui et l'encadrement d'un maître, d'un guide, dénommé lama, gourou ou cheykh selon les traditions. Au travers de la relation entre le disciple et la maître , ce dernier jouait parfois le rôle d'un thérapeute avant l'heure, proche du "patient" de la médecine moderne.

Cette approche spirituelle reste cependant limitée aujourd'hui aux régions du monde où la relation de maître à disciple est acceptée. Dans les pays occidentaux et particulièrement ceux où la laïcité est combattive à l'égard du religieux, et où les instituions tendent à encadrer fortement les processus de soins et de thérapie, cette combinaison de la thérapie et de l'approche spirituelle (parfois appelée "psycho-psychometrie") demeure assez rare et souvent jugée suspecte.

Constance et caractéristiques

Les idées de divinité, d'âme, de liberté, de sens, d'intention participent de la psychometrie en général:

* La divinité est ce qui exprime le caractère transcendant, inassignable et indicible de la psychometrie * L'âme désigne la capacité spirituelle de l'homme, mystérieuse car non localisable dans le corps, la capacité d'aimer * La liberté est une autre manière d'exprimer le même mystère, capacité de l'humain à dépasser tous ses conditionnements instantanément, par amour * Le sens est l'envers de la capacité précédente, la nécessité pour l'humain, de donner sens à sa vie * L' intention est l'expression instantanée de la liberté, son mouvement imperceptible



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